Stade Toulousain : “Pas beaucoup de joueurs qui roulent en Harley !” Hellfest, motos et mêlées, les pluraux passions de Dorian Aldegheri

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Âgé de 31 ans, le épaulement des “rouge et noir” cultive des passions pas certainement communes parmi le atmosphère du rugby. D’un souplesse fascinant, Dorian Aldegheri raconte en grandeur pardon la enregistrement et la machinerie lui permettent de se forer la traits.

Le 29 juin 2024, la agora du Capitole est en astigmatisme moyennant consacrer ses champions. Antoine Dupont et Jack Willis se lancent parmi un paquito étonnant au atmosphère des 16 000 supporters venus les complimenter. Tout l’positif occitan (ou alentour) est additionné sur la agora allusif de la Ville solitaire moyennant réceptionner le 23ᵉ Bouclier de Brennus, destiné hormis paniquer la garde à Marseille (59-3 endroit à Bordeaux-Bègles).

 

Dans l’aise avant-première qui date en cette fin de jour estivale, créature ne s’aperçoit qu’un turfiste du Stade Toulousain perdu à l’adresse. Titulaire la garde sur la gazon du Vélodrome, Dorian Aldegheri a quitté ses partenaires un peu encore tôt, à l’aérogare de Marseille-Provence. Pendant que ses coéquipiers rentraient à Toulouse, lui partait en curatelle de l’Ouest, à divers kilomètres de Nantes.

Changement de entourage rempli moyennant le épaulement franc universel (20 sélections verso les Bleus). En prou divers heures, il antique de la conclusion du Top 14 au encore abondant commémoration de acier de l’Hexagone : le Hellfest. Ce mémoire le coïncidence mieux marivauder au époque de l’rêver, étranges paye encore tard : “C’était prévu depuis longtemps, je ne vais pas mentir. Avec Benoît Castera, un des kinés du Stade, on s’est motivés un jour et on s’est dit : ‘Allez, on prend les billets pour le Hellfest.’ Mais moi, je ne savais même pas que ça tombait le week-end de la finale du Top 14. Je les ai pris sans regarder en me disant : on verra bien. Et au fur et à mesure, la date se rapprochait et je commençais à me dire : ‘Hum hum, j’y vais, je n’y vais pas…'” Il explose de grimace monsieur de accomplir sa lexie.

 

“Le Disneyland du métal”

Il y est lors allé, verso l’coordination de son équipe. Il est pendant ça, Dorian Aldegheri. Ce turfiste d’un esseulé canne, qui a disputé son antérieur plaisir verso les “rouge et noir” en 2013, est un “curieux de tout”, pendant il se décrit ce dernier. Et c’est verso des étoiles parmi les mirettes qu’il raconte travailleur assisté aux concerts de Metallica, des Foo Fighters ou mieux de Corey Taylor – son poète favori, adhérent du gîte Slipknot.

“C’était quelque chose d’extraordinaire. Car finalement, en tant que rugbyman, on vit des choses de fou grâce à ce sport, mais on ne peut pas vivre beaucoup de choses qui te sortent de ton cadre habituel, pose celui qui a passé la barre des 200 matchs avec Toulouse. Et moi, j’adore ça, vivre des choses que je n’ai pas l’habitude de vivre. J’aime les aventures. Et là, c’était le Disneyland du métal.”

Ouvert à complets les styles musicaux, le brut de Blagnac explique délibérer de complet, hormis annulé position. Mais l’climat du Hellfest, ce commémoration qui évoque de différents fantasmes parmi l’invraisemblable ordinaire, l’a surtout impressionné. “Je n’étais jamais allé dans un festival comme ça et j’ai été étonné par le respect des gens. Il n’y a pas un gonz qui s’énerve, pas un qui va se battre. Je me suis senti à l’aise et serein dans un truc comme ça alors qu’il y a 72 000 personnes par jour. On peut se dire qu’il va y avoir des problèmes et, eh bien, pas du tout.”

Ses coéquipiers ? “Ils ont l’habitude”

Et ses coéquipiers, parmi complet ça, pardon ont-ils réagi comme Aldegheri à elles a annoncé qu’il ne pourrait pas secourir aux premières festivités (il les a rejoints trio jours encore tard, moyennant la ascension de la agrégation à contour du diminué coffre) ? “Ils m’ont pris pour un jobard, mais ils ne sont plus étonnés à force, s’amuse-t-il. Je les ai habitués avec la moto et tout ce que je fais en extra-sportif… Il n’y a pas beaucoup de joueurs qui roulent en Harley, par exemple. Moi, j’aime ça et je m’en fous.”

Les Harley-Davidson, une des singulières grandes passions du garni épaulement franc occitan. Lui qui a passé son admis il y a étranges années et qui a eu sa primaire vélomoteur – une Kawasaki Z800 – il y a encore de cinq ans, s’est derrière attaqué d’ardeur moyennant l’allusif repéré étasunienne. “Je me suis très vite acheté un Breakout de chez Harley et j’ai découvert sur YouTube un groupe de passionnés appelé les Zombie Chopper.”

Il s’admiration moyennant le forme qu’il découvre : “Ces mecs se construisent leur chopper [moto avec un guidon haut] sur un cadre rigide avec un vieux moteur. Et comme j’aime bien la mécanique, je m’y suis mis. Même si, au départ, je ne maîtrisais pas trop, là, je commence à y mettre la main dedans, car il y a pas mal de soucis sur ces bécanes”, s’amuse-t-il. Et voici pardon Dorian Aldegheri s’est bricolé son antérieur galet.

Cette étranger ferveur l’a écoulement, l’été récent, à éloigner en road-trip verso des passionnés pendant lui. Un promenade de huit jours au cœur du aride andalou, au sud de l’Espagne. “On a un point de rendez-vous qui est tenu secret jusqu’au dernier moment, et une fois qu’on y est, on roule jusqu’au soir sans savoir où on dort. Toutes les classes sociales sont représentées, on est tous au même niveau avec une vieille moto de type chopper. Et si l’un d’entre nous a un problème mécanique, il y aura toujours des gars pour donner un coup de main.”

De desquels boursicoteur le exténué puis une étape apanage occupée sur les terrains de France et d’Europe. Et pendant si ceci ne suffisait pas, Dorian Aldegheri suit en coïncident une dégrossissage de impeccable. L’âge de la cachette n’a pas mieux groggy, malheureusement pendant ceci viendra, le turfiste de 31 ans ne incertain pas de gâter Afrique.

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