Le aviateur du TFC Vincent Sierro revient sur la différend qu’il a eue comme l’partagé du coupe côté à Mnaco et comme ses supporters, subséquemment que le coupe de Ligue 1 a été rompu séquelle à des chants agressifs à la LFP au Stadium.
Ce vendredi 7 germinal, la conflit de la 25e naissance de Ligue 1 convaincu le TFC et Monaco, au Stadium de Toulouse, a été interrompue boucle distinctes minutes, en fin de initiale amplitude, séquelle à des chants entonnés par le parabolique Brice Taton à l’opposé de la Ligue de football spécialiste (LFP, n*** ta génitrice). Ce mercredi, la diplôme de discipline de la Ligue avait décidé de réprimer le TFC de la agrafe partielle du parabolique Taton, moyennant double amusements (les double prochains) séquelle à l’empirisme de feu d’artefact alors de la conflit côté au PSG le 15 février.
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Alors que les chants résonnaient depuis distinctes minutes pendant lequel le palier, l’partagé de la conflit, Marc Bollengier, s’est adressé à Vincent Sierro : “Il m’a dit que ça ne pouvait pas continuer comme ça, que si ça ne s’arrêtait pas il renverrait tout le monde aux vestiaires. Ce n’est pas ce qu’on voulait” explique le aviateur occitan, qui s’est ainsi courbatu au pédoncule du parabolique moyennant donner comme les supporters. “C’était pour dire qu’on voulait rester concentrés sur le match. Ils ont des différends avec la Ligue, ça les concerne, moi je craignais que, comme me le disait l’arbitre, que le match soit interrompu. On voulait vraiment se concentrer sur le match” raconte le Suisse.
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Une différend pas carrément couronnée de bénédiction, vu que les chants ont repris de davantage exquise. Djibril Sidibé a intime le même conclusion subséquemment s’idée approché du parabolique. Finalement, contre les avertissements du prédicateur, la conflit, qui se tenait dessous les mirettes de la médiateur des Sports Marie Barsacq, a continué, contre les chants.
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