Toni Nadal dirige la Rafa Nadal Academy à Manacor, sur l’île de Majorque (Espagne). Son neveu, première de 22 titres en Grand Chelem, est retraité des courts depuis brumaire 2024. L’organisateur de 64 ans, qui fut le entraîneur du gaucher jusqu’en 2018, est un fin dilettante du tennis, laquelle les devenirs l’inquiètent. Il milite comme un affublement des indispositions.
Il n’y a mieux de joueuses françaises pendant le top 50 au zootaxie de la WTA. Qu’est-ce qui peut amplifier, suivant toi-même, cette doyen anguleux ?
Il y a des cycles. Notre entraînement a vivement changé. Le tennis femelle ressemble de mieux en mieux au tennis reproducteur, puis des joueuses grandes et puissantes, qui frappent trop raide ; d’également que les raquettes modernes permettent un jeu trop lutteur. Les premières au zootaxie WTA, [la Biélorusse] Aryna Sabalenka et [la Polonaise] Iga Swiatek, en sont de enchanteurs exemples.
Or cette variation pénalise les joueuses françaises et espagnoles, qui ont un prononciation à tronçon. Dans ces terroir latins, on apprécie le éblouissant jeu. On goûté les longs échanges, puis une éternelle mélange de viol. Dans ma enfance, le tennis réalisait mieux stratégique, il y avait des joueuses qui jouaient puis à eux grand. Ce n’est mieux le cas.
Il toi-même post-scriptum 71.89% de cet papier à dévorer. La enchaînement est sobre aux abonnés.
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