Tournoi des six nations femelle, Irlande-France : les Bleues en ramassage de repères et de beaux résultats, à cinq salaire de la Coupe du monde

Les cosélectionneurs du XV de France féminin, David Ortiz (à gauche) et Gaëlle Mignot (à droite), entourent la capitaine des Bleues, Manae Feleu, à Londres, le 7 mars 2025.

Quel faciès le XV de France femelle affichera-t-il frontispice à l’Irlande, chahut 22 ventôse à décamper de 14 heures, au Kingspan Stadium de Belfast, en Irlande du Nord, comme son accueil en arène comme le Tournoi des six nations ? Celui d’une meute doué de acharner puis les Red Roses anglaises, jusqu’ici indétrônables ? Ou icelui, surtout terrorisant, prévu en septembre et octobre 2024, lorsque du WXV – exploit internationale en triade divisions – où les Bleues, auprès de bonnes intentions comme le jeu, n’ont remporté qu’un reculé délassement, lent, frontispice aux Etats-Unis (22-14) et convenu un duo de lourdes défaites frontispice à la Nouvelle-Zélande (39-14) et au Canada (46-24) ?

Leur gagnante lutte des Six Nations 2025, chahut frontispice à l’Irlande, émanation crânerie de copie. Les Bleues sortent d’un allant 2024 en demi-teinte et cherchent repères, obstination et réputation. « Ce partie a une longueur spécifique étant donné qu’il s’identifié comme à nous facture comme la Coupe du monde [du 22 août au 27 septembre, en Angleterre], vogue la guide des Bleues, Manae Feleu. C’est une modalités imaginaire comme fignoler à nous jeu, scander nos automatismes, adroit à élever à nous fédératif. »

Troisièmes de l’parution 2024 du partie sommet les Bleues, les Irlandaises avancent confiantes puis un duo de victoires en 2024 comme la gagnante bout du WXV, laquelle une, célèbre, vers les Néo-Zélandaises (29-27). Si l’meute de France à eux a ordinairement infligé des défaites comme le Tournoi des six nations – 19 plaisirs perdus sur 22 joués –, les triade seules victoires irlandaises ont été arrachées à cheminée.

Le partie, que les Bleues n’ont pas remporté depuis 2018, ne s’avertissement pas compréhensible comme elles-mêmes. « Le accord est follement logique désormais », considère la deuxième-ligne Manae Feleu. Les Bleues se déplaceront triade jour, en Irlande du Nord, en Italie avec, comme l’excessif délassement de la cinquième et dernière jour, en Angleterre.

Un tend moins habitué

Autre paramètre à présent menaçant aux Bleues : à eux balance de sérieux. Plusieurs cadres sont absentes car blessées ou surtout en salut : c’est le cas de la demie d’bouchon Caroline Drouin, touchée à un jointure depuis le partie de rugby à VII des Jeux de Paris 2024, l’dissout Chloé Jacquet, dépouille d’une abrogation des ligaments croisés en janvier, ou surtout de la troisième-ligne Romane Détenir ou de la appui Assia Khalfaoui, surtout beaucoup objectifs matériellement.

D’différentes, avec Emeline Gros ou Gaëlle Hermet, font les agile de alternance sportifs de la fraction des cosélectionneurs, David Ortiz et Gaëlle Mignot, qui ont poli un tend comme l’chorale damoiseau et peu capé. Un « bon embroussaillé d’vérification et de allant », délicat d’implanter « humidité et aplomb », disciple la guide des Bleues. Cette meute réussira-t-elle à dégrader le « maximum de glass », avec le souhaite la talonneuse Agathe Sochat, comme grouper les Red Roses de disjoncter un bleu traité ?

Très expérimentées, les Anglaises sont invaincues depuis 20 discussion comme le Tournoi des six nations : sacrées en 2024, avec intégraux les ans depuis 2019, elles-mêmes ont comme remporté le WXV l’cycle dernière.

Une assurance se profile : toutes pourront manifestement capitaliser sur les encouragements nourris du révélé, que l’on avertissement en foule, particulièrement à Twickenham, où la dernière lutte du partie convaincu l’Angleterre et la France (le 26 avril) pourrait avoir se trafiquer à guichets fermés.

Reprendre ce domestique

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