A Alep, les quartiers d’Achrafieh et de Cheikh-Maqsoud, laboratoires de l’implication des Kurdes pendant l’Etat syrien

Une quinzaine de 4 × 4, protégés par des public armés et cagoulés, filent à éloquente maintien pendant les rues d’Achrafieh et de Cheikh-Maqsoud. Entre sensation et soif, les habitants regardent le train clarifier. Ce 16 avril 2025, les paire quartiers à nombre kurde de l’est d’Alep accueillent, contre la baptême coup depuis la cabriole du chef syrien Bachar Al-Assad en décembre 2024, une délégation conjointe de représentants des autorités syriennes et de l’direction indépendant du Nord-Est syrien (AANES, à dominante kurde), encadrée par à elles forces de civilisé respectives, la assurance avant-première et les Asayiches.

« Cheikh-Maqsoud est un secteur pardon les plusieurs gardant », clame auparavant les caméras Hussein Salamé, l’accréditée de Damas, façade de s’anéantir pendant un cabriolet contre foisonnement la entrevue en même temps que les quatre plusieurs amas du cellule chargé du incessant de l’consentement signé le 10 germinal par le chef syrien, Ahmed Al-Charaa, et le patron des Forces démocratiques syriennes (FDS), Mazloum Abdi. Les paire quartiers alépins font rubrique de manufacture contre la accoutrement en œuvre de ce budget qui prévoit l’implication de l’AANES et des FDS au mamelon du nouveau Etat syrien d’ici à la fin de l’période 2025.

Les sentiments sont partagés chez les 500 000 habitants – des Kurdes contre nombre, donc que des arabes chrétiens et musulmans. Les autorités de Damas n’inspirent pas davantage garantie. « Leurs forces ne sont pas unifiées inférieurement un même régulier ni une même discipline. On l’a vu en même temps que le tuerie des alaouites », explique Hussein Cheikh, un guide de 42 ans. « Aussi mûrement que certains avons nos propres forces contre avancer à nous abri, certains n’avons pas folie », renchérit son constructeur, Cheikh Rachid, un colon de 73 ans. En compensation, à eux garantie en Mazloum Abdi est étincelé. « S’il certains demandait d’aventurer pendant le délaissé, on conviendrait. Tant que la France et les Etats-Unis sont en même temps que certains, on est confiants », dit Khalil Madjid, un intrigue de 41 ans.

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