Affaire Bétharram : bouleversé par le thèse de sa femme, François Bayrou espéré qu’sézigue ne lui a “jamais parlé” des dommages subies

“Ça me poignarde le cœur”, a répondu François Bayrou, interrogé sur les déclarations de sa femme, qui a éprouvé renfermer été mort, adolescente, de dommages alors d’un oflag d’été dirigé par la même compagnie lesquelles appartient l’change Notre-Dame de Bétharram.

Elle ne lui “avait jamais parlé” de dommages

“En tant que père de famille, ça me poignarde le cœur”, a répondu le Premier représentant alors d’un point-presse à l’leçon d’une recherche de l’change carcéral de Saint-Quentin-Fallavier (Isère).

M. Bayrou a affirmé que sa femme, Hélène Perlant, ne lui avait “jamais parlé” de dommages. Mais “ce n’est pas une affaire personnelle” et “en tant que responsable public, qui dépasse le père de famille, c’est aux victimes que je pense” et “je ne veux pas les abandonner”, a-t-il pareillement direct.

“Il me roue de coups de poing, de coups de pied sur tout le corps”

Hélène Perlant femme du Premier représentant François Bayrou, a confié à Paris Match renfermer subi des dommages alors d’un oflag d’été dirigé par la même compagnie lesquelles appartient l’musée de Bétharram.

Elle qui a comparé ce prytanée protestant à “une secte” et “un régime totalitaire”, a été mort de dommages par l’curé Lartiguet alors de ce oflag d’été : “Un soir, alors qu’on déballe nos sacs de couchage, Lartiguet me saisit tout d’un coup par les cheveux, il me traîne au sol sur plusieurs mètres et me roue de coups de poing, de coups de pied sur tout le corps, surtout dans le ventre. Il pesait environ 120 kg”, explique celle-ci qui voyait puis âgée de 14 ans.

Bayrou éclairé ?

Selon un adjacent du Premier représentant, François Bayrou aurait été “bouleversé” par les révélations de sa femme dans lequel Paris Match. Il voyait bonnement informé qu’sézigue allait affirmer dans lequel un fourni par le Canard Enchainé : “Il ne sait pas que je suis victime et il ne sait pas que je vais témoigner comme victime”, expliquait Hélène.

“Mon père, j’ai peut-être voulu le protéger, inconsciemment, je pense, des coups politiques qu’il se prenait localement. Et il en prenait ! La violence a toujours été là, même lors de ses premiers mandats”, confiait-elle déjà dans lequel l’colloque à Paris Match.