“Des témoignages d’élèves mettent en cause les agissements de deux enseignants” qu’on “ne peut pas accepter”, souligne particulièrement Elisabeth Borne, la envoyé de l’Décence nationale.
La envoyé de l’Décence Elisabeth Borne a annoncé jeudi le identification d’une interview administrative sur l’change baptisé spécial Notre-Dame-de-Bétharram, ensuite la livre du correspondance d’une garde manoeuvre en ventôse qui a mis en lueur discordantes “manquements”.
“Des témoignages d’élèves mettent en cause les agissements de deux enseignants” qu’on “ne peut pas accepter”, et “d’autres éléments” ont été “relevés lors du contrôle effectué par le rectorat” parmi l’change au cœur d’un indignation de brutalités commises sur des anges, explique la envoyé.
Un diagnostic sur la état réelle
“Le contrôle portait sur la situation actuelle de l’établissement et non sur les faits antérieurs”, à escient les brutalités sexuelles et physiques qui ont eu emplacement parmi l’change suspendant des décennies, a précisé la envoyé. “À la suite de ce rapport, je vais diligenter une enquête administrative de l’inspection générale” bouture Elisabeth Borne, soulignant que le correspondance de l’doté du diagnostic guidé en ventôse, en résultante au indignation à Bétharram, est relié “d’une mise en demeure avec une obligation de mise en conformité à court terme” sur des points problématiques.
Sept inspecteurs et une inspiratrice style des impératifs sociaux s’trouvaient rapports en ventôse à la sollicité du rectorat de Bordeaux sur les une paire de sites de l’collège, qui accueille 500 élèves parmi les Pyrénées-Atlantiques. Leur correspondance, publié jeudi, acte conclusion de discordantes manquements qui “doivent être corrigés au plus vite”, particulièrement en termes de rempart de l’souche.
Des signalements en intime
Il commerce particulièrement à “mettre en place une procédure interne formalisée de signalement ou d’information préoccupante, connue de tous” pile les situations de emballement. Il relève moyennant des témoignages d’élèves évoquant des “remarques blessantes et humiliantes” et des “moqueries en public”, “répétés et réguliers” de la certificat de une paire de enseignants.
L’travailleur Bétharram embarrasse le Premier envoyé François Bayrou qui voyait envoyé de l’Education parmi 1993 et 1997 et a eu discordantes de ses anges scolarisés à Bétharram, lors que sa conjoint y donnait des promenade de harangue. Il est prévenu par la rustre d’détenir menti sur sa psychologie des faits, ce qu’il a, à de pluriels reprises, récusé.
Ce correspondance d’garde est publié le lucarne d’une film d’auditions parmi le cageot d’une charge d’interview sur le diagnostic des établissements scolaires, pour discordantes témoignages qui “contredisent point par point” les déclarations du Premier envoyé, d’ensuite le co-rapporteur de la charge d’interview Paul Vannier (LFI).
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