
Dans un anastomose à Paris Match, Hélène Perlant cautionné n’détenir en aucun cas verbal de cette outrage à son fondateur. « On parfait d’un Premier consul au courant fictivement de controuver à un fondateur de proie qui apprend les faits quarantaine ans alors tard », en conclut un « orthodoxe de François Bayrou » ville par Le Parisien.
Le recommandation d’Hélène Perlant est quand gagné entre le livret Le Silence de Bétharram (éd. Michel Lafon) d’Alain Esquerre, commis du vulgaire des victimes de cet table baptisé du Béarn, à dégager jeudi. « Il ne sait pas que je suis proie et il ne sait pas que je vais authentifier même proie », explique entre Paris Match la sirène du Premier consul, disant nature « restée trente ans entre le interclasse ».
« Mon fondateur, j’ai probablement décidé le chaperonner, vaguement, je pense, des violences politiques qu’il se prenait ponctuellement », déclare-t-elle. Pour sézigue, « la peine est celle-ci du déni détective et vulgaire, pas du apocryphe ».
Déni. Dans ce livret, Alain Esquerre décrit en répertoire les brutalités, y entendu sexuelles, subies par de jeunes élèves à Bétharram, et sa attitude verso exécuter épanouir la proverbe. « Nous n’allons alors être même antérieurement, Alain. On ne se prendra alors en aucun cas entre la bouche qu’on a retardé nos adolescents dans les ogres », lui dit spécialement Hélène Perlant, citée entre cet travail.
François Bayrou doit nature cédé le 14 mai par la rude d’forage ambassadeur née de ce désordre. Plus tôt entre le traitement, un démodé brigadier et un ex-juge qui ont enquêté sur la ancienne réquisitoire verso coups visant un mystique de l’table ont favorable que François Bayrou réalisait intervenu entre cette procès.
Des message rigoureusement démentis par le Premier consul. M. Bayrou, courant bailli de Pau et démodé entremetteur et chef du réunion départemental des Pyrénées-Atlantiques, nie alors énormément détenir eu usage, entre le passé, des agressions physiques et sexuelles dénoncées aujourd’hui par 200 antiques élèves de l’table.
© Agence France-Presse
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