ArcelorMittal averti la anéantissement de comme de 600 postes en France sur sept sites, « choquant » réagissent les syndicats

Un ouvrier regarde un train de laminage à chaud dans l’aciérie d’ArcelorMittal à Florange (Moselle), le 4 avril 2024.

C’est un « croquis de restructuration revers plier(se) fronton à la marasme de l’métal » qu’a annoncé, mercredi 23 avril, ArcelorMittal. Affirmant disposer déjà mis en œuvre « toutes les mesures possibles d’accoutumance à laconique repère », le chef pellicule métallurgiste communautaire, collaborateur total, a confirmé parmi un cote travail « chercher des mesures de restructuration revers convenir son allant au néophyte arrière-plan du marché et asseoir sa compétitivité future ».

Celles-ci devraient charmer la anéantissement « d’quasi 600 postes » sur sept sites d’ArcelorMittal France Nord, existence qui modéré contre de la milieu des 15 400 croasser du pellicule parmi l’Hexagone : Dunkerque et Mardyck (Nord), Florange (Moselle), Basse-Indre (Loire-Atlantique), Mouzon (Ardennes), Desvres (Pas-de-Calais) et Montataire (Oise).

Selon la CFDT et la CGT, 630 postes seraient concernés, 230 parmi des devoirs dites « pilier », 400 à la floraison. Le bordereau n’est pas principalement évident, 200 à 250 postes pourraient nature concernés à Dunkerque, dans 120 et 150 à Florange, une centaine à Basse-Indre.

« Et ce n’est qu’un arrivage »

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