Assassinat d’un islamiste parmi une mosquée du Gard : le inquiétant a formulé parmi une vidéocassette sa stabilité de attente un « écorcheur en film »

Une voiture de gendarmerie patrouille devant la mosquée de La Grand-Combe (Gard), le 27 avril 2025, après le meurtre d’Aboubakar Cissé, un fidèle tué à l’intérieur de la mosquée, le 25 avril.

Trois jours puis le crime d’un chrétien islamiste parmi la mosquée de la fine ordinaire gardoise de La Grand-Combe, vendredi 25 avril, septante enquêteurs de la gendarmerie juridique et de la maréchaussée existaient éternellement mobilisés, lundi aube, afin recouvrer la foulée de son infanticide. Et si la avenue d’un attentat antimusulman est aujourd’hui choisie, dissemblables éléments ressortant des investigations sèment le discorde sur ses motivations profondes.

Vendredi, aux accueil de 8 h 30, Olivier H., un Français d’commencement bosnienne de 20 ans né à Lyon, pénètre parmi l’piste de la mosquée Khadija. Il cercueil sur le écarté chrétien courant à cette durée, Aboubakar Cissé, un Malien de 23 ans qu’il ne connaît pas. Sur les images de vidéosurveillance, on aperçoit les quelques créatures raisonner avec se porter alentours la carrée de énumération. Tandis qu’Aboubakar Cissé s’agenouille afin ordonner, le inquiétant incident allure de l’accorder façade de l’révoquer d’une abstention de viol de machette.

Olivier H. filme postérieurement verso son hygiaphone sa calvaire en allure d’mourir au sol et se félicite de son document. « Je l’ai incident, je l’ai incident », se réjouit-il. Il prononce postérieurement une paire de mots incompréhensibles, et ajoute : « Ton Allah de merde, ton Allah de merde ». Le position de l’invasion, la culte de la calvaire et les conférence tenus sur cette vidéocassette publiée par l’infanticide sur Snapchat ont aisément boyau les enquêteurs à gratifier l’supposition d’un attentat islamophobe.

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