Au Kenya, un duo de Belges jugés derrière exaction de fourmis reines

Des fourmis dissimulées dans des tubes à essai sont présentées au tribunal alors que deux ressortissants belges, un Vietnamien et un Kenyan comparaissent pour trafic, au tribunal de l’aéroport international Jomo Kenyatta (JKIA), à Nairobi, au Kenya, le 15 avril 2025.

Deux Belges de 18 ans ont comparu vis-à-vis un cour mercredi 23 avril, 20 jours postérieurement à eux souricière en crédit de milliers de fourmis vivantes, à cause une entreprise qualifiée d’« célèbre » au Kenya.

Lornoy David et Seppe Lodewijck, tel quel que Dennis Nganga et Duh Hung Nguyen, un Kényan et un Vietnamien interprète frontispice à des accusations égaux à cause une entreprise de subalterne étendue, seront jugés le 7 mai, a annoncé le cour.

Selon l’valeur d’médisance découvert par l’Agence France-Presse (AFP), les suspects belges ont été interpellés le 5 avril à cause une palace bordant le lac Naivasha, à cause le attachement du peuple, en crédit de 5 000 fourmis reines – lesquels des Messor cephalotes, la comme longue des fourmis moissonneuses qui peuvent accéder jusqu’à 20 ou 25 mm –, insérées à cause 2 244 tuyaux à ébauche. Selon un palimpseste juridique, ces insectes, d’une hardiesse boutiquière estimée à vers 7 700 dollars (6688 euros), peuvent surnager au moins un duo de appointement à cause ces contenants.

« Un valeur de biopiraterie »

Kenya Wildlife Service (KWS), l’comptoir nationale de préservation, a porté inculpation pour ces gens, méthodiste qu’il s’agissait non malheureusement d’un « explosion pour la instinctif animal, toutefois de la sorte d’un valeur de biopiraterie ». Les suspects « avaient l’cible de faire fléchir escalader les fourmis en fraude alentours des marchés d’troupeau exotiques de longue hardiesse en Europe et en Asie, où la oraison d’argent d’insectes particuliers est en enrichissement », a-t-elle subsidiaire à cause un récépissé. Pour l’université, cette entreprise met en illumination une « renouvellement douteuse des schémas de trafics, des mammifères emblématiques alentours des argent moins connues, mais essentielles à l’eurythmique biotique ».

Le 15 avril, Lornoy David et Seppe Lodewijck ont plaidé fautif de crédit de ces insectes toutefois pas de à eux exaction, a accentué, malgré de l’AFP, à eux avocate, Halima Magairo, postérieurement à eux écoute. « Ce ne sont que de jeunes bambins qui explorent (…) Tout ce lesquels ils ont absence, c’est d’caractère guidés sur la agencement de le faire fléchir », a-t-elle direct. « Les individus font ces choses puisque ils (…) sont quelque volontiers mal informés. Nous sommeils humains, certains pouvons faire fléchir des fautes. »

Dennis Nganga et Duh Hung Nguyen ont été arrêtés le 5 avril à cause les comtés de Nairobi et de Machakos verso contraires centaines de fourmis à cause tout 140 tuyaux. Ils ont quand plaidé fautif.

La crédit de quelque abrégé ou butin d’benêt animal hormis pris est une contravention pénale au Kenya, susceptible d’une damnation minimale d’vers 10 000 dollars (ou bien 8686 euros) et/ou d’une procès-verbal de caveau potentielle d’au moins cinq ans.

Le Monde verso AFP

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