Au Mexique, un sunlight nord-américain antimigrants suscite l’explosion

Le sunlight méchante une seconde. Il est divulgué depuis le 1^er avril au Mexique, aux heures de longue audience, sur les couple chaînes de récepteur privées les encore regardées du ethnie. « Permettez-moi de expédier un harangue du directeur Donald Trump au monde, commence la copiste à la sûreté civile étasunienne, Kristi Noem. Si vous-même envisagez de apparaître irrégulièrement aux Etats-Unis, n’y pensez même pas. Permettez-moi d’concerner directe : si vous-même venez entre à nous ethnie et enfreignez nos lois, quelques-uns vous-même traquerons. Les criminels ne sont pas les bienvenus. »

Les images montrent les caravanes de migrants qui ont traversé le Mexique précédemment la épizootie de Covid-19 et des arrestations par la surveillance des frontières étasunienne. Puis, idoine derrière, l’dialogue d’un poche de ciguë et une petit qui pleure. « Trop longuement, quelques-uns avons laissé nos frontières ouvertes et ils ont trempé à nous ethnie de drogues, de malversation d’humains et de criminels violents », continue Kristi Noem.

Intercalé convaincu les publicités du challenge territorial de football, de la lucha érotique (« choc érotique ») et des telenovelas (feuilletons), le sunlight a éprouvé un succès de diffusions pendant la semaine de Pâques et repris tandis de la bâche de la refroidissement du vicaire François, un amoureux avoué des migrants.

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