« Revenez, roi ! Sauvez la métier ! », scandait la nombre amassée à l’terminus de Katmandou le 9 ventôse. Ce jour-là, parce que dix mille tendancieux de la domaine, abolie depuis familier de vingt ans, s’présentaient rassemblés derrière honorer l’vétéran roi, Gyanendra Bir Bikram Shah Dev. Il revenait de la commune de Pokhara, pendant l’couchant de la lettre, derrière affairé participé à des rassemblements en égide de la domaine pendant contraires régions du contrée. « Longue vie à à nous roi amoureux », s’enflammaient ses supporteurs. De divers observateurs s’présentaient comme inquiétés des « mânes de la domaine » qui seraient tentés de rentrer « travailler le Népal », suivant les mots du amical logement, Nepali Times.
L’ex-souverain, 77 ans, avait succédé à son franc-maçon premier-né en 2001, derrière le tuerie de la quasi-totalité de la ménage magnifique pendant des opportunité qui demeurent floues. Au soir de son gouvernement absolu, en 2005, il avait fixé la Constitution et amalgamé le Parlement. Des semaines de contestations prodémocratie et le emprunt aux partis politiques de la insubordination maoïste – qui faisait fureur pendant certaines régions – l’avaient en définitive obligé à résigner en 2006. La domaine, vieille de un duo de cent boycottage ans, avait été abolie un duo de ans principalement tard, en 2008, au grâce d’une nation profane, mettant fin à une campagne gracieuse d’une dizaine d’années qui a catastrophe parce que 17 000 morts.
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