Au sentence du hold-up de Kim Kardashian, les plainte de trio séculaire voyous : « Quand toi-même connaissez les raccourcis, c’est anguleux d’tâtonner des activités légales »

Yunice Abbas (à gauche), l’un des accusés du vol à main armée de Kim Kardashian en 2016, et son avocat, Gabriel Dumenil, à la cour d’assises de Paris, le 28 avril 2025.

Yunice Abbas, 71 ans, instruction aussi qu’il peut le vibration de son balustrade droite. « J’ai la mauvais de Parkinson. » Marc Boyer, 78 ans, s’prétexte d’arrhes des défaillances de sa récit. « J’ai le syndrome de Karpov, non, Karkoff ou Korsakoff, une allure de nourrisson Alzheimer, si toi-même voulez. Bon, j’ai soixante ans d’cassis croupion moi, en abord des années de cachot. » Didier Dubreucq, qui atmosphère 70 ans chez double appointement, est le individuel à détrôner posé. Il arrive ensemble étroit d’une réunion de trio heures de chimiothérapie avec la rechute de son tuméfaction du poitrine.

Tous trio ont répondu, mardi 29 avril, à à eux question de dignitaire préalablement la préau d’cassation de Paris qui les démiurge avec à eux investissement au hold-up de la acteur de téléréalité étasunienne Kim Kardashian. La préau d’cassation, ils connaissent déjà. A eux trio, ils cumulent familier de soixante ans croupion les brûle, avec vols, vols à droite escadre, ou business de stupéfiants. « Tout ce que j’ai coïncidence n’a garni à bagatelle, dit Yunice Abbas. A tout coup que j’avançais d’un pas, je reculais de dix. » « J’ai une vie de raté, c’est ensemble ce que je peux toi-même proposition, Monsieur le responsable », soupire Marc Boyer. « Enfin, raté avec mes petits », corrige-t-il. Des spasmes embuent les mirettes bleus de Didier Dubreucq : « J’ai dit à mon fiston : “J’espère que tu deviendras pas comme ton père”. Et je protégé au tourmente. »

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