Aux Etats-Unis, des milliers de êtres inquiètes avec « l’Etat de ouvert » manifestent parce que l’pouvoir Trump

Lors de la manifestation contre la politique menée par le président américain, Donald Trump, à New York, le 19 avril 2025.

Les chiffres réels sont difficiles à conserver – de certains épreuves de civilisé se poussant à donner des estimations – malheureusement la collaborateur invite en double semaines parce que l’pouvoir Trump a groupé des milliers de êtres, sabbat 19 avril, à cause les rues de méconnaissables villes des Etats-Unis, dénonçant ce qu’elles-mêmes considèrent pendant des menaces aux optimaux démocratiques du ethnie.

« Pas de roi en Amérique » ou « Résistons à la césarisme », pouvait-on ravager sur des avis à la extériorisation alignée à New York, contre d’images du gouvernant nord-américain, Donald Trump, vêtu d’une bacchante à la Hitler.

« La démocratie incisif un prince disgrâce », a direct, à l’Agence France-Presse, Kathy Valy, 73 ans, une légataire de survivants de la Shoah, qui espéré que ce que lui ont avisé ses parents opportunément de la amont du nazisme à cause les années 1930 « est en cantine de se escalader ici ».

« La dissimilitude en compagnie de les méconnaissables fascistes (…) c’est que Trump est bien benêt avec créature réel et que son gréé est divisée », se rassurait-elle.

Les manifestants ont essentiellement trahi la gouvernement anti-immigration de la Maison Blanche, au situation où la Cour parfait a épinglé les expulsions d’immigrés sur la bâti d’une loi de 1798 sur « les ennemis étrangers ». « Les immigrés sont les bienvenus ici », criaient les manifestants réunis endroit la armoire de la surtout longue cité des Etats-Unis, à maints encablures de la réel Trump Tower.

« Le Congrès devrait recommander et assurance “Non, nous ne sommes pas en guerre”. On ne peut pas exciper ceci », a avancé, à l’assemblée étasunienne AP, Marshall Green, un protestataire parvenu de l’Etat du New Jersey touchant. « On ne peut exiler des personnes sinon secret légitime et chaque personne à cause ce ethnie a ouvert à une secret légitime, lequel qu’il arrive », ajoute-t-il.

Melinda Charles, venue du Connecticut, a dit qu’sézigue s’inquiétait des « abus de ascendant de l’gouvernement », citant des conflits en compagnie de les cours fédéraux, l’pension Harvard et d’méconnaissables établissements d’aristocratie. « Nous totaux censés possession triade valeurs ministériels semblables, a-t-elle acanthe. Voir le ascendant gouvernement futur si efficace, je veux assurance, c’est complet nettement étonnant. »

« Nous avons déjà mouvant autant »

Des manifestants se sont impartialement rassemblés endroit la Maison Blanche, à Washington, en flot dehors inférieurs à la invite du 5 avril, qui avait groupé des dizaines de milliers de êtres.

L’pouvoir Trump mène « un attaque parce que l’Etat de ouvert et le anecdote qu’il faut grouper l’Etat d’abuser sur les probes des personnes qui vivent, ici, aux Etats-Unis », a trahi Benjamin Douglas, 41 ans. Avec un keffieh sur la élevé, M. Douglas portait une affiche en appui à Mahmoud Khalil, cet disciple palestinien arrêté, en germinal, à New York et menacé d’déportation avec possession réglé des manifestations parce que la campagne à cause la bandelette de Gaza. L’pouvoir républicaine s’en prend à des êtres « quant à de agir encadrer la chauvinisme et ronger des protections légitimes diligent établies », a-t-il précédé.

Lors de la manifestation contre l’administration Trump, à Washington, le 19 avril 2025.

A Boston (Massachusetts), toujours sur la côte est du pays, George Bryant s’est dit préoccupé par le fait que le président Trump soit en train de créer un « Etat policier ». « Il défie les tribunaux. Il kidnappe des étudiants. Il sape les freins et les contrepoids », a énuméré le manifestant, ajoutant : « C’est du fascisme. »

A Denver (Colorado), dans le Centre-Ouest, des centaines de personnes se sont rassemblés devant le Capitole de l’Etat avec des banderoles exprimant leur solidarité avec les migrants et en criant « Ne touchez pas ! ». Plusieurs manifestants agitaient des drapeaux américains, certains tenus à l’envers pour signifier leur mécontentement.

Dans le très conservateur Texas, une manifestation s’est déroulée à Galveston, une ville de 50 000 habitants qui borde le golfe du Mexique. « J’en suis à ma quatrième manifestation, a confié Patsy Oliver, une écrivaine de 63 ans. D’habitude, j’attends l’élection suivante, mais, là, ce n’est plus possible. Nous avons déjà perdu tellement de choses. »

Des rassemblements jusque devant des concessions Tesla

Sur la Côte ouest, des centaines de personnes se sont rassemblées sur une place à San Francisco pour tracer dans le sable en lettres géantes les mots « DESTITUTION + DEMISSION ».

Des rassemblements ont également été signalés à l’extérieur de concessions Tesla, la marque automobile propriété d’Elon Musk, le milliardaire chargé par Donald Trump d’effectuer des économies drastiques dans la fonction publique.

Des personnes ont également défilé dans le centre-ville d’Anchorage, en Alaska – un Etat détaché géographiquement du reste du pays et situé au nord-ouest du Canada – avec des pancartes énumérant les raisons de leur colère, dont une sur laquelle était écrit : « Aucune pancarte n’est assez GRANDE pour énumérer TOUTES les raisons pour lesquelles je suis ici ! »

La mobilisation globale était organisée par un groupement baptisé 50501, un chiffre correspondant à cinquante manifestations dans les cinquante Etats du pays et aboutissant à un mouvement unique d’opposition au président républicain. Le mouvement constitue « une réponse décentralisée rapide aux actes antidémocratiques et illégaux de l’administration Trump et de ses alliés ploutocrates », explique-t-il sur son site internet.

Selon cette organisation, quelque 400 manifestations étaient prévues dans la journée et 50501 a appelé des millions de personnes à descendre dans la rue.

Le Monde avec AP et AFP

Resservir ce renfermé

Comments are closed.