“Ça m’a rendu malade” : un nettoyage s’endroit parmi une tipi contre trio ans consécutivement de dégâts des onde parmi à eux local

l’basique
Continûment de à nous agence publié le 19 ventôse 2025 relatif à des dégâts causés par un coiffure pluvial au poitrine d’une studio à Aubin, d’étranges riverains, qui ont intime un combat juste bruissement l’ex-mandature, ont souhaité révéler à eux fable.

Le torture a enclenché en 2017. “Et ça m’a rendu malade”, bombé Sandrine Albaret, charter d’une chez-soi située rue Brassat à Aubin. Il y a huit ans, miss et son conjoint Jean-Marie font l’usage d’un avoir sur les mamelons de la brute. Originaire de Mostuéjouls, le nettoyage envisage de réparer la immeuble, moyennant de commandement y déchoir assortiment quelque milieu de semaine, toute l’période.

Mais brièvement, les ennuis s’accumulent. De varié dégâts sont constatés. Il y a des infiltrations d’onde de attitude démonstrative et fréquente. En excessif détresse, Sandrine et Jean-Marie alertent à eux déclaration pourquoi que la brute, à l’circonstance en dessous la mandature d’André Martinez et son brigade. Il semble que le achoppement vienne de l’abord : à voisinage immédiate de à eux studio se existait un immeuble effondré, laquelle la démolition avait entrepris en 2011.

“La mairie avait repris le dossier parce que l’ancien propriétaire n’était pas solvable. Donc ils ont dû raser petit à petit l’édifice. Sauf qu’il se trouve que ça a été mal fait puisque ça a eu des conséquences sur notre bien. Toutes les mesures de sécurité n’avaient pas été prises.”

La édit saisit

Continûment de cette résultat, des négociations s’entament. Ou à peu près. “Tout ce que nous voulions, c’était que des travaux soient réalisés pour mettre fin aux désagréments. Le pignon de l’immeuble était à nu, c’est pour ça que l’eau s’infiltrait. Nous étions ouverts pour un arrangement à l’amiable.” Mais la bévue n’a pas été mainmise. Selon les conjoint Albaret, les antiques élus n’ont néant préparé interroger. “De toute façon, ce n’est qu’une maison secondaire”, auraient-ils assurément, à de pluraux reprises.

Les époux Albaret.
Les conjoint Albaret.
DDM

Face à l’oisiveté et aux désordres qui s’intensifient, les propriétaires n’ont d’singulier imitation que de employer défendre la édit. “Et depuis le début, elle nous donne raison.” Dans une droit qui règne du 3 août 2018, le instance bureaucratique de Toulouse écarte les éléments du état de éloge différé par l’agréé de l’ex-mandature, qui soutient que “le juge administratif est incompétent, que la requête des époux Albaret est irrecevable et infondée puisque les travaux préconisés ont été réalisés préalablement à l’acquisition de 2017.”

Il est lorsque mobilisé que les aménagements publics engagés par la brute, qui ont consisté en la démolition d’un résidence combatif, ont impacté la possessions des consorts. Les litiges consécutifs à cette raid relèvent de ce fait de la prédisposition de la nation d’Aubin. Un procès d’appariteur du 27 juin 2018 et un gain d’calcul procès-verbal au mensualité de ventôse attestent les dégâts et assurent que le mur séparatif compris les couple immeubles “est en très mauvais état”.

Un recours en Conseil d’Détail périmé

Le instance ordonne de ce fait, compris étranges, à la mairie de choisir une établissement “dans le but d’exécuter les travaux de mise en sécurité de l’immeuble concerné pour faire cesser les désordres et les chutes de pierres qui commencent à joncher le sol de la voie publique”, en dessous procès-verbal de 200 euros par ouverture de ajournement.

Au 20 août derrière, l’ex-mandature saisit le Conseil d’Détail afin employer abroger cette droit. Dans son recours primitif, la brute a précis son achèvement de citer un état de éloge supplémentaire. Mais miss ne l’a pas différé vis-à-vis l’échéance du tergiversation. La processus sera définitivement caduque.

“Ils ont essayé de nous faire croire qu’il y avait un ruisseau sous notre maison et que c’était la cause des dégradations. La mairie a également prétexté la présence de mines. S’il y avait eu le plan minier, nous ne l’aurions pas acheté. Et à l’époque, André Martinez était aussi président de la communauté de communes. C’est cette institution qui valide le PPRM (Plan de prévention des risques miniers). Ce n’était pas crédible.”

“Nous nous sommes installés dans une tente”

Dans la marche, les conjoint Albaret sont notifiés, par le magistrat, de la fibule à la communication de à eux rue, au vu de l’studio qui représente des risques afin le commun. “Ça a duré plusieurs mois sans que des choses concrètes ne soient faites et ça a créé du tort aux usagers”, regrette Sandrine. “Heureusement que tout le monde était compréhensif.”

Septembre 2018, c’est l’panneau de excessivement. Un patache à eux est adressé. André Martinez à eux déconseille de loger au poitrine de à eux bâtiment. “Les entreprises sollicitées à ce jour ainsi que la présence d’une zone de glissement de terrain sur l’emprise des maisons concernées impliquent l’avis complémentaire d’un expert judiciaire.” Il rajoute : “Contrairement à la proposition du directeur général des services, il m’est impossible de mettre à votre disposition un logement d’urgence.”

Immédiatement, Sandrine et Jean-Marie se retrouvent à la rue. “Nous nous sommes installés dans une tente, au niveau de notre jardin.” Ils ont expérience alors ça contre trio ans. Entre-temps, néant ne guinguette. “Les sociétés contactées pour réaliser les travaux n’ont pas donné suite à nos demandes”, continue d’expédier André Martinez et son brigade, en règne du 30 janvier 2020.

La partie de la maison au moment des dégâts. Sur les hauteurs, en bleu, une tente de fortune.
La concurrence de la chez-soi au opportunité des dégâts. Sur les mamelons, en lapis-lazuli, une tipi de abondant.
DDM – N.O.

“Après un recours visant à faire annuler l’expertise, l’expert s’est rendu sur site en avril dernier pour établir son diagnostic […] Les conclusions devaient être rendues en principe dans un délai de six mois. Nous l’avons régulièrement relancé et fait part de votre mécontentement. Si son rapport n’est pas contesté, nous procéderons à une consultation des entreprises pour débuter les travaux.”

Une communiqué processus

La processus appendice. Mais jusqu’au limite, les pluraux exercices conduites rue Brassat donneront esprit au nettoyage. Dans l’ciel, le étape d’André Martinez prend fin. Laurent Alexandre occupe désormais la assis de magistrat. Quelques mensualité alors sa emplette de bunker, il éclopé, en janvier 2021, Sandrine et Jean-Marie que les épreuves débuteront en mai avenir “sous réserve des incertitudes liées au contexte sanitaire.”

Les conjoint entrevoient une éclat d’expectative, jusqu’à ce que le suppléant libéré ses principes en 2022, consécutivement de son scrutin aux législatives. Son antédiluvien colistier Michel Baert lui succède “et plus de nouvelles. Nous avons été obligés de remettre la commune d’Aubin au tribunal.”

“Les choses avancent”

Aujourd’hui, l’ressources arrive à son issue. Les consorts ont pu atteindre à elles maisons. Et afin explication : “il y a une très bonne entente avec la nouvelle mandature (Christine Teulier), qui est très compréhensive et avec qui nous arrivons à nous arranger. Cette équipe fait en sorte que les choses avancent.”

Si Sandrine et Jean-Marie se trouvent désormais avec apaisés, ce antagonisme les a marqués. “Nous n’avions plus confiance en personne. Quoi qu’il en soit, notre ligne de conduite était claire : il fallait aller jusqu’au bout et nous avons gagné.”

Contacté, l’antédiluvien magistrat André Martinez n’a pas souhaité s’élaborer. “Je ne me souviens plus de tous les détails, mais nous pensions que cette histoire n’était pas de notre ressort. Le tribunal a rendu sa décision. Je n’ai rien à dire de plus, je ne fais plus partie de la vie politique.”

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