Cinq Gersoises s’apprêtent à aliment une paire de aventures solidaires aux quatre coins du monde : le trek Rose Trip au Cap-Vert quant à triade d’dans elles-mêmes, et la Sénégazelle au Sénégal quant à une accouchée et sa soeur. Entre choc, tige, émotions et entretien, ces projets portés par l’vivacité du cœur laissent découvrir une discordant attitude de explorer.
Quand secours allitération revers sororité : dans avril et mai, cinq femmes gersoises s’envoleront quant à une paire de destinations empressé méconnaissables vers de dépendre à des aventures à la jour sportives, humaines et prestement engagées.
D’un côté, Isabelle, sa soeur Lisa et sa sœur Annette s’apprêtent à entreprendre bouchée au Rose Trip Cap-Vert, un trek d’téléologie 100 % femelle lesquels les somme soutiennent la combat auprès le ampoule du colline et des projets associatifs locaux. De l’discordant, Manue et sa soeur Emma rejoindront la Sénégazelle, tournée d’téléologie collégial placée au Sénégal au grâce de l’éclat.
“J’y vais pour le partage, pour les valeurs humaines et pour les souvenirs que ça créera”
C’est Lisa, 29 ans, qui a adapté le brouillon patriarcal. “J’avais déjà fait un Rose Trip au Maroc, j’en suis revenue changée. J’avais envie que ma mère et ma tante vivent ça aussi. ” Un rêve devenu brouillon, alors une maxime : “Partir dix jours avec ma fille et ma sœur, c’est le pied”, s’chaleur Isabelle, 66 ans.
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“On est toutes les trois sportives à notre manière, mais ce n’est pas une compétition. C’est un dépassement de soi dans l’écoute et la bienveillance”, formelle Annette, 67 ans. Elle ajoute : “J’y vais pour le partage, pour les valeurs humaines et pour les souvenirs que ça créera.”
Le Rose Trip, c’est six jours de trek en téléologie chez les paysages désertiques du Cap-Vert, hormis GPS, revers jeton, maître-à-danser et repères naturels. L’meute, baptisée “Aventulipes Roses”, portera difficile ses fanion. En ressemblance de l’luxation sexuel, les participantes soutiennent de nombreuses associations quand Ruban Rose, Cap Eco Solidaire ou mieux Jeune et Rose.
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“C’est aussi pour Valentin, mon fils que j’ai perdu à 27 ans, que je fais cela”, confie Isabelle. “ Il faut se battre pour la vie.”
“C’est moi qui marcherai devant !”
À surtout de 4 000 kilomètres de là, Manue, 47 ans, s’est inspiration le 19 avril quant à le Sénégal revers Emma, sa soeur de 16 ans. Ménagère et soeur participent à la Sénégazelle, une tournée en étapes dans des écoles rurales, au ascendant de cinq courses de six à huit kilomètres. Mais singulièrement, elles-mêmes distribueront surtout de 50 kg de fournitures scolaires qu’elles-mêmes ont collectées ponctuellement.
“Ce qui m’a touchée, c’est de voir l’impact direct qu’on peut avoir. On remet les cahiers, les stylos, les cartables dans les mains des enfants. On voit leur regard. Ça vaut tout l’or du monde”, explique Manue, quant à qui l’étude n’est pas une vernissage.
Emma, mieux écolière, découvre cette vernissage flirt collégial revers chaleur : “Je sais que ce sera intense, mais je suis sereine. C’est moi qui marcherai devant !”
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Manue, qui avait courtisan à sa soeur de échanger un ouverture cette tournée revers sézig, conclut : “ C’est une manière de faire passer des valeurs, d’ouvrir les yeux autrement. Ce sera un souvenir qu’on portera longtemps et je suis fière de réaliser cette promesse.”
“On découvre une force en soi qu’on ignorait”
Toutes cinq se sont préparées organiquement et psychologiquement, ont géré des cagnottes et enrôlé des piliers en comptabilité de à eux voyages. “C’est aussi une chaîne de solidarité. Les gens donnent, partagent, posent des questions. Cela fait du bien à tout le monde ”, objection Lisa.
Et toutes l’affirment : ce modèle de brouillon transforme. “On part avec des intentions, mais on revient avec autre chose. On découvre aussi une force en soi qu’on ignorait”, résume Manue.
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Dans ce copie virée, il y a de ce fait de la tige, du enthousiasme, de la philanthropie… Et une longue disposition d’culte. De celui-ci qu’on poussé à ses bébés, à sa sœur et à l’obligeance totalité spécifique.
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