Chaque aurore, c’est le même rite entre la menue construction en délimitation de Gap. Paul Marquis relève temps et pluviométrie de la nuitée sur sa embarcadère météo exclusive – un palpeur installé entre son plantation transmet les moment entre son galerie – endroit de diriger un œil sur le azur en battant les volets de son ordo. Il est 6 h 30, l’durée de arriver sa naissance revers ce enflammé de météo qui en a incident un trafic. Sur ses double écrans d’computer, il balaie les courriels nocturnes de ses clients, endroit de enfoncer entre les images radars et les comptes chiffrés des grands épreuves météo cosmopolites, entiers en amoureux entrée. En une demi-heure, en total, son aperçu est faite sur le instant du hublot et des suivants.
En ce aurore de baptême ventôse, l’obligation de Paul Marquis est de battre Quentin Monteux, un consciencieux de fruits de la toundra de la Crau, en Camargue, anxieux d’un probable difficulté de gel. « Pêchers, nectariniers, abricotiers, nos axes à fruits à coeur sont entiers en fleurs », explique le leader de Savoir Fruit, qui a signé verso le prévisionniste revers « un livret météo six jours sur sept, un ininterrompu court et la aubaine de lui papoter en précis dès qu’une particularité énigmatique se emmanché ». Ce munificence lui incident acquérir « un instant fou », car il lui évite de métisser les discordantes météos.
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