Le passeur castrais Théo Vidal a décroché un tréteaux lorsque des Coupes de Pâques, sur le tour de Nogaro. Une divine victoire envers ce “semi-pro”, car les meilleurs pilotes métropolitain existaient au rencard.
Le Castrais Théo Vidal a blessé, fin avril, sur le tour de Nogaro, entre le Gers, lorsque des championnats de France Tourisme – TC France. Le passeur de 308, qui bref envers l’abri JSB Compétition, et qui est licencié à l’Association Sportive Automobile Circuit d’Albi, a en produit décroché un tréteaux, arrachant une 3e lieu.
“Je me suis toujours battu contre le chrono”
“C’est exceptionnel, raconte Théo Vidal, parce que c’était vraiment le plus haut niveau. C’était un peu le Top14, explique en souriant l’ancien rugbyman passé par le Sporting ou le CO, je me suis confronté aux meilleurs de la discipline !” Nous avons eu l’fripe de l’enregistrer entre La Neuve, Théo a un survol exceptionnel : passé par le rugby de cime diapason, il a changé de bordure en conséquence une contusion. Il le racontait entre nos colonnes : “depuis tout petit, je venais voir le Grand Prix d’Albi. Au rugby, j’étais ailier, j’aimais la vitesse. En fait, je me suis toujours battu contre le chrono, et ça continue avec la voiture !”
Outsider à Nogaro, envers les traditionnelles Coupes de Pâques FFSA Tourisme – TC France du tour Paul Armagnac, le Castrais a expérience un vacance accidenté. “Personne ne me connaissait, c’est une surprise, cette 3e place ! Après, je suis un compétiteur, je visais le podium. Mais bon, au milieu de pilotes professionnels…” Car Théo Vidal est “semi-pro” : il travaille – vendeur comme Thouy – et parvient, souplesse à ses sponsors et ses partenaires, à contribuer à certains courses d’ampleur sur une moment. “Un week-end de course, c’est très cher”, trouillard le passeur, qui n’a frayé qu’une jour en 2024 et qui courait envers la commencement jour en 2025. Alors, durant l’période, il incident des séances d’essais sur les circuits, et s’entraîne comme lui, sur l’solennel contrefacteur de agissements qu’il s’est installé. “Après, c’est de l’entraînement physique quotidien, de la musculation, aller courir…” Une exécution qui lui a accueilli de extorquer ce tréteaux.

Il disputait double courses sur le tour gersois. Lors de la commencement, “je fais toute la course en étant 4e, mais je dois abandonner à cause d’un problème de ventilation, j’avais de la buée sur les vitres…” C’est lorsque de la adjoint épreuve qu’il réussit sa victoire : “j’étais tendu au départ, j’ai peiné à revenir sur le peloton. Vers les trois-quart de la course, il y a eu une “safety car”, et j’ai pu recoller. Dans un virage, j’ai tenté ma chance, j’ai plongé et j’ai pris la troisième place. C’était une course pleine de rebondissements, à un moment j’ai failli me prendre le phare d’une voiture abîmée !”
Un tréteaux insolent entre la bordure de Théo Vidal, qui remercie sa quinzaine de partenaires de à elles pilier. Il bourgeon son rêve : tromper technicien.
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