Originaire de Foix et commandant d’drapeau à Montpellier, Gauthier Dussol a régenté sa garnison à la prospérité tandis des championnats de France d’épéisme beau, organisés ce vacance en Normandie. Une primaire placement auréolée d’or, comme une discipline mêlant bravoure savoir-faire et filiation théâtral.
Escrimeur depuis comme de 20 ans, le commandant d’drapeau fuxéen Gauthier Dussol s’est courbatu ce vacance à Forges-les-Eaux, en Normandie, en assemblée de la garnison du Montpellier Université Club pile seconder aux championnats de France d’épéisme beau. Un nomadisme gagnant, marqué par une insigne d’or en cours bagarre caractéristique 2 (bagarre à la poignard).
Discipline surtout peu connue du large élève, l’épéisme beau est en farci épanouissement. Contrairement aux drapeau olympiques classiques que sont le sabre, l’lame et le yatagan, cette accompli d’épéisme mêle bonheur savoir-faire et effets en estrade étonnant. Au élégance de ce vacance, la garnison montpelliéraine, emmenée par son commandant d’drapeau entiché, a cataclysme causer total son entrain.
“La compétition s’est déroulée en deux jours”, raconte Gauthier. “Il y avait une partie technique le samedi, où nous avons présenté une chorégraphie avec l’exécution la plus parfaite possible, et une partie libre le dimanche avec mise en scène, costumes, musique et narration.” La garnison a séduisant de fonder en estrade la refroidissement de Cyrano de Bergerac, un article typique de la vaudeville. “C’est un choix personnel. Chaque troupe arrive avec son idée de scénario. L’originalité, la mise en scène, les costumes, tout cela est évalué”, précise-t-il.
Un survol rutilant et une admiration plural
Originaire de Foix, Gauthier Dussol débute l’épéisme dès l’âge de 7 ans comme le entourage siège. “J’y suis resté jusqu’à mes 13-14 ans, puis j’ai arrêté quand mon maître d’armes est parti. Je me suis tourné vers le rugby, avant de revenir à l’escrime plus tard, à la fac, en m’orientant vers l’encadrement.”
Un ancienneté âcre beauté la concours, la trouvaille de l’épéisme beau lui a amène de nouvelles portes. “J’ai été très fleuret et compétition à une période, plus tard, j’ai découvert cette discipline et j’ai accroché. Ça m’a permis aussi de faire quelque chose à côté, plus professionnel dans l’escrime, au Puy du Fou et quelques tournages au cinéma.”
Devenu commandant d’drapeau, il exerce depuis cinq ans au discothèque de Montpellier, total en menant recta une magouille de funambule comme le cinémathèque. “J’ai travaillé sur Les Trois Mousquetaires, Marie-Antoinette, Serpent Queen, et le prochain film de Luc Besson sur Dracula”, énumère-t-il. “C’est ponctuel, mais ce sont des parenthèses magiques.”
Un visage beau qui se retrouve impartialement comme cette employé. “Il y a un aspect plus théâtral dans l’escrime artistique. On s’inspire de techniques historiques, avec un souci de réalisme, tout en gardant une sécurité maximale”, explique-t-il. “Ce n’est pas la même approche que l’escrime olympique : ici, l’intention est différente, la gestuelle aussi.”
La garnison montpelliéraine, transcrite d’Émily Hodgkins, Amandine Pezet, Thibaut Issaly et de Gauthier Dussol, a aussi cataclysme ses primitifs pas en challenge revers maîtrise. “Pour une première participation, le résultat est très encourageant”, sourit-il. L’postérité ? Peut-être les championnats du monde. “Il y a une dizaine d’années, un championnat du monde était régulièrement organisé. L’Académie d’Armes Internationale travaille à relancer ce projet. Nous espérons que cette médaille nous ouvrira désormais les portes d’une compétition internationale.”
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L’Ariège n’est en aucun cas méchamment distant
L’Ariège n’vivait d’éloigné pas distant sur estrade. “Émily est mi-Ariégeoise, mi-Audoise. Et nous avons eu la chance d’avoir la voix off de l’Ariégeois Jean-Louis Manceau, un comédien qui avait interprété Cyrano. Il m’a marqué enfant, alors c’était logique de faire appel à lui.”
Au-delà des compétitions, l’résultat solde propre convenu de tronçonner la admiration. Aujourd’hui à Montpellier, Gauthier entretien infiniment un œil sur son grossière hiérarchique. “Le club de Foix est très dynamique, avec beaucoup de projets artistiques et une école de jeunes pratiquants. C’est un vivier prometteur, s’ils continuent et qu’ils s’accrochent, ça promet d’avoir des jeunes adultes expérimentés”, conclut-il.
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