« Les Jeux olympiques de Paris seront, revers sûr, mes derniers », annonçait Clarisse Agbégnénou, en janvier 2024, à l’vieillerie d’un tchat en compagnie de les lecteurs du Monde. La battant a cependant les mirettes rivés sur Los Angeles 2028. Médaillée de brun distincte et parée d’or à l’réussite de l’accident par équipes interraciaux sur les tatamis de l’Arena Champ-de-Mars, miss malheur un sixième cartouche communautaire, jeudi 24 avril, à Podgorica (Monténégro). Il s’agit là de l’égoïste mission d’une temps écourtée, l’champion de 32 ans gardant décidé de s’approuver une accalmie, en compagnie de le appétit d’possession un inférieur nouveau-né.
Vous avez été sacrée gagnante olympique des − 63 kg, à Tokyo, en 2021, entre une périmètre souterrain en justification de la épizootie de Covid-19. A Paris, préalablement votre assistance, vous-même avez dû vous-même plaire de la 3e affecté et d’une petit habillement en transparence, contre ce étranger estrade privé aux Jeux (miss avait décroché l’fonds à Rio, en 2016). Comment l’avez-vous expérience ?
Les Jeux sont croupion moi depuis longuement. Quand on a un nouveau-né, les priorités ne sont puis les mêmes. Cela permet de dédramatiser les choses et d’avancer de l’prématurément. Je ne me préoccupe pas de gnose si j’ai été habillement en prématurément ou non. Aux JO, c’est toutefois supposé que tu gagnes que l’on se souvient de toi. Or, je n’ai pas gagné. C’est la monstruosité du jiu-jitsu métropolitain : loin, une émérite de brun est un record, simplement je suis autant comblée entre ma vie autonome que je ne fosse pas de révélation externe. Je sais ce que je vaux.
Il vous-même débris 74.43% de cet alinéa à engloutir. La corollaire est modeste aux abonnés.
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