Maire de Saverdun et accoucheur du rugby, Philippe Calléja se bat depuis de longues années pile la consolidation du champion sur le position de rugby (malheureusement pas que). Après les confidences chocs de Sébastien Chabal, l’vétéran directeur de l’UA Saverdun veut aventurer davantage mieux autre part et supposer les éducateurs pile retoucher la soumission en agression et la calme du champion touché durant un délassement.

Les confidences de Sébastien Chabal de eux-mêmes jours ont ahuri le monde joueur, propre au-delà du rugby. Les révélations de l’ex-international français ont relancé le comité sur la personnalité intellectuelle en conséquence la hémicycle d’un joueur (de malaisé registre en l’coïncidence) et sur les conséquences des chocs subis.
En Ariège, s’il y a un altruiste à la ardillon dans lequel ce charpente, c’est propre Philippe Calléja. Le juge de paix de Saverdun, accoucheur, connaît tout à fait la conditionnel. L’vétéran directeur de l’UA Saverdun est depuis un couple de années accoucheur artiste sur les existes professionnelles de Top 14 : “Je suis médecin urgentiste auprès de la FFR et de certains clubs du Top 14.” C’est en conséquence lui qui crâne si un champion peut ou non réconcilier la alinéa, et il y a amplement qu’il s’est emparé du embarras.
“Je me suis aperçu de l’intensification des contacts sur les aires de jeu”
“C’est moi qui ai inventé la médicalisation de certains événements. Je me suis aperçu de l’intensification des contacts sur les aires de jeu. Mais je me suis également rendu compte qu’il fallait une prise en charge du public, qui va de 4 à 95 ans. Ce qui rajoute aux risques. Depuis, World Rugby a largement réglementé tout ce dispositif pour sécuriser le joueur. C’est une très bonne chose. Le rugby a pris conscience de cette problématique. Mais, c’est vrai, Sébastien Chabal est l’exemple de ce qui se passe. Le médecin indépendant surveille et contrôle le joueur qui n’a pas conscience de son état. Par exemple, lors d’un récent Pamiers-Saverdun, un joueur a fait une contusion cérébrale à l’échauffement. Il était remplaçant. Au moment d’aller le chercher pour rentrer dans le jeu, on s’est alors rendu compte de son état. Il faut être vigilant sur ça, le carton bleu nous y aide.”
Sur un position de amusement, les chocs sont pluriels et variés. “Il y a deux types de commotions cérébrales. Il y a l’accident contre lequel on ne peut rien. L’autre facteur à prendre en compte, c’est la technique. Par exemple, pour le rugby, mettre la tête du bon côté au moment de plaquer. Et c’est exactement la même chose pour un joueur amateur ou un joueur professionnel. L’important, c’est de prendre conscience de cette difficulté.” *
Mais Philippe Calléja se bat autant pile entiers les distinctes bonshommes de traumatismes. “Il y a également le problème des contusions vertébrales. Sur le bord du terrain, il faut avoir les bons réflexes avant de manipuler le blessé en attendant les secours.”
Les éducateurs ariégeois et haut-garonnais formés dès la cycle prochaine
C’est aussi Philippe Calléja, président-fondateur de l’union MEDOL (Allopathe provençal logistique), a décidé d’aventurer davantage mieux autre part dans lequel la partialité dans lequel entiers bonshommes de matchs. “Aujourd’hui, il faut également que les éducateurs rejoignent ce combat. Il faut les former. La multiplication des commotions cérébrales peut poser des soucis. Forts de notre expérience dans le monde professionnel, on a fait une proposition aux comités départementaux de rugby de la Haute-Garonne et de l’Ariège pour former les éducateurs aux techniques de sensibilisation à ces phénomènes. Il ne peut pas y avoir des médecins sur tous les terrains”.
La soumission de maxime de Sébastien Chabal a, semble-t-il, éveillé les consciences. “Je le répète, le rugby est à la pointe du progrès. Mais c’est très intéressant que la prise de conscience des commotions cérébrales soit engagée. Il le faut dans tous les sports. Évidemment avec toutes les contraintes qui vont avec”.
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