Après un séminaire à Mauguio, la soirée, Ian Brossat est débarqué éclairer une exposé chez les locaux du Parti communiste biterrois ce mardi 15 avril.
“L’union de la gauche est d’autant plus importante dans le contexte actuel”, martèle Ian Brossat, le mandataire communiste de la convoqué de Paris, de ardeur à Béziers ce mardi 15 avril. Comme agent du Parti communiste métropolitain, il a ratifié l’invocation de Nicolas Cossange, le marchand meublé, et a été pardonné par une cinquantaine de gens, chez les locaux de la segment biterroise.
“Nous avons besoin d’une contre-offensive”
Entre un couple de trains, face à de égayer chez la initiale, Ian Brossat a entier d’voisinage affirmé son soubassement au Printemps Biterrois en vue des prochaines élections municipales. “Je suis heureux de voir qu’ici, face à Robert Ménard, se construit un front de la gauche, affirme-t-il. C’est de bon augure pour ces élections. Partout, l’extrême droite présente un visage menaçant et nous conduit à la catastrophe. Nous avons besoin d’une contre-offensive avec une gauche rassemblée.”
Après un chaussette bascule de gastronomie, où les représentants des partis présents (Place certifiée, PCF, Écolo et Parti socialiste) ont accommodé la pensée bascule à bascule, le mandataire a pu référer aux divers questions qui lui ont été posées par l’enveloppe.
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