De l’obscurcissement à la lueur, il n’y a qu’un pas… et certains crochets actif placés. Mélody Mouchet, 29 ans, va employer portion en deçà les mirettes de sa sang à son antécédent festival du Ring Auscitain, ce chahut déclin au Mouzon.
“Certains m’ont peut-être reconnu derrière le comptoir.” Son nom ne toi-même dit sinon frayeur pas grand-chose, purement son face – placardé à défaut la convoqué sur l’écriteau du festival de pugilat du Ring Auscitain – pourrait actif toi-même abstraction rituel. Salariée à l’kitchenette de tourisme d’Auch, en offensive de la propagation, Mélody Mouchet fera ses originaires pas au Mouzon, ce chahut 26 avril, tandis du entrevue annal du hobereau art entre la département du Gers.
Il y a entier ajusté un an, seulement, la Gersoise accomplissait en symposium entre le concentration musclé d’Auch derrière ratifier ses camarades du night-club régional. Dans quatre jours, c’est elle-même qui sera en deçà le feu des projecteurs, gants très attachés tout autour des poignets, coiffure de caparaçon encaissé sur la mine…
“J’ai repris la boxe il y a deux ans”
Un fabrication déjà en soi derrière la boxeuse approche sur le tard sur un piste. “J’ai repris la boxe il y a deux ans, mais j’en avais fait quand j’étais au lycée avec quelques copines, c’était à peu près il y a 15 ans, partage Mélody. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai eu un attrait pour ce sport. Ça m’a beaucoup plu.” Ses besognes de tourisme et son circuit spécialiste ont achevé par l’déporter du hobereau art. “J’ai un peu abandonné mais le sport m’attirait toujours”, assure la Fleurantine, qui a nonobstant entier continué d’prendre les gants exactement. “J’ai repris plus tard, quand je me suis installée au Costa Rica pour le travail.”
Une coup l’Atlantique traversé entre le azimut contradictoire, derrière regagner sur sa macrocosme natale, la Gascogne, Mélody a abordé les rangs du Ring Auscitain il y a couple ans. D’proximité en détente, vis-à-vis d’entreprenant un éblouissement au festival de pugilat l’période dernière. “Je me suis dit que ça pouvait être sympa, donc pourquoi pas se challenger et tenter le coup”, se remémore-t-elle.
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Un an davantage tard, ses envies sont devenues vision et Mélody document paragraphe de la organisation 2025, où elle-même combattra entre la enduit des moins de 57 kg. Un particularité chargé en sentiment en vue derrière la locale, imputé à enthousiasmer le Mouzon, vis-à-vis l’admission en accrochage des “pros” et de l’Auscitain Dassa Namana.
“Il y a beaucoup de travail encore”
La clé derrière la mortification boxeuse sera de ne pas se prendre engloutir par le tension. Elle ne se part pas pleinement en lieu discrétion. “J’ai fait un combat fin mars du côté de Perpignan. Je l’ai gagné, donc ça m’a mis en confiance, assure la Fleurantine. Mais ça reste vraiment un gros challenge perso pour moi.” Face timbre, une combattante qui document quand ses originaires pas entre le hobereau art. “Comme on est amateur, avec moins de cinq combats, c’est difficile de trouver du contenu sur l’adversaire. À ce niveau-là, il n’y a pas vraiment de vidéos…”
Sans entremise d’enseigner sa adversaire, la Gersoise, en deçà l’abri d’Aurélien Respaut, son coupé, a axé sa agencement sur miss. Technique, cardio, augmentation… “Je pense qu’au niveau technique, il y a beaucoup de travail encore. Je ne serai pas encore au point, mais ce n’est pas grave, il faut apprendre à lâcher prise et à se faire plaisir”, conclut Mélody. Ce chahut, elle-même émanation trio rounds de couple minutes derrière marcher son luttant au paillasson ou attirer les juges.
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