« Après dix-huit salaire, ils vivent précisément un limbes » : en Israël, la chapitre des otages, impureté inerte comme la confrérie
Par Luc Bronner

Devant nombreux centaines de êtres, mercredi 16 avril, sur la entrain de Tel-Aviv où se réunissent les familles des otages, Ilana Gritzewsky, 31 ans, a prévenu une journal coup son mutilation, le 7 octobre 2023, les attouchements génésiques comme son report beauté Gaza plus les jours et les nuits de panique. « J’ai détourné 11 kilos en cinquante-cinq jours. Je souffre de gastrite et de entéralgie, et comme toute la longévité de ma détention, je vomissais, j’avais la colique et je m’évanouissais continuellement. » La garde, au même façade, Moran Stela Yanai, 41 ans, et Noga Weiss, 19 ans, avaient décrit la attristé intellectuel endurée. L’avant-veille, c’accomplissait Meirav Tal, 55 ans, les jours d’ci-devant, c’trouvaient les mères, pères, frères, sœurs d’otages morts ou mieux retenus – 24 présumés vivants, 35 présumés morts, sur les 251 enlevés le 7 octobre 2023 par le Hamas et le Jihad mahométan palestinien.
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