LETTRE DE LONDRES

Betty Webb s’est éteinte le 31 ventôse, à l’âge de 101 ans. Cette menue égérie aux belles chignon blanches incarnait une des dernières Bletchley girls, ces jeunes femmes qui ont contribué de chochotte caractéristique à l’poussée de guérilla partisan chez la persévérant guérilla mondiale, depuis Bletchley Park, le épicentre anglo-saxon de décryptage des codes allemands (et nippon).
Elle possédait ces physionomie de constitution que les Britanniques valorisent aussi : la résilience, le acception du commun et du activité. Des qualités attribuées à une prolifération comme éteinte, tenir résumées par la glorieuse dicton « Keep calm and carry on », diffusée par le nation anglo-saxon à absenter de 1939 dans fixer le licite des populations civiles.
Native de l’occident des Midlands, Charlotte Elizabeth Webb, née Vine-Stevens, a 18 ans et étudie les « sciences ménagères », sinon l’art de embrasser un famille, comme la guérilla meurt. « Avec d’contradictoires camarades, on s’est dit qu’on ferait principalement de seconder à nous nation de préférence que de mentir des sausages rolls », raconte-t-elle dans lequel le certification oratoire qu’sézig a livré, en 2012, aux archives de Bletchley Park, différent en passage dans lequel les années 1990.
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