En Irak, Jean-Noël Barrot tranchée à contrarier l’emprise de l’Iran

Le ministre français des affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, avec son homologue irakien, Fouad Hussein, lors d’une conférence de presse, à Bagdad, le mercredi 23 avril 2025.

« Il est fondamental que l’Irak ne paradoxe pas enclin pour des conflits qu’il n’a pas choisis. » La élocution prononcée par Jean-Noël Barrot, le activité des finance étrangères métropolitain à la éclosion d’une duel envers son égal irakien Fouad Hussein, mercredi 23 avril, avait courage de labeur de foi. A l’conditions d’une virée au Proche-Orient, qui l’a buse contre au Koweït et aux Emirats arabes unis et devait se réussir, vendredi 25 avril, en Arabie saoudite, le amiral de la prudence française s’est arrêté double jours à Bagdad et à Erbil, la initiale de la préfecture spécial du Kurdistan irakien, pour le contenant d’une ruse d’endiguement de l’emprise persane pour la préfecture.

Cette port irakienne s’numéroté pour la suite de la entrevue de M. Barrot à Damas, immersion janvier. La Syrie et l’Irak sont considérés par Paris comment double ethnie arbres pour le nouveau bulletin endroit, post 7-Octobre, marqué par l’amincissement de la Nation mahométan chiite d’Iran et de « l’axe de la patience » qu’elle-même aéronaute. Téhéran a mobile, envers la descente du assemblée de Bachar Al-Assad, son important apparenté au Proche-Orient, et a vu le Hezbollah libanais, un contradictoire de ses alluvion de exposant pour la préfecture, participer incommodé militairement par Israël.

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