En Syrie, l’douteuse absence de femmes alaouites

Najah Ali, dont la fille, Dhoua, a été enlevée le 24 mars. A Tell Salhab (Syrie), le 5 avril 2025.

Le évolution a creusé de profonds sillons sur le aspect de Najah Ali. Il a tué son époux à courtaud feu. Assise sur le carpette qui recouvre le sol de sa baraque au voisinage des vergers de Tell Salhab, au pédoncule de la éminence alaouite, l’salariée rural de 47 ans raconte, tout autour d’un maté, la drame qui la éberlué de rafraîchi. Sa ménagère Dhoua, 30 ans, épousée à un chausseur mutilé et femme d’un page de 3 ans, a été volée le 24 germinal. Elle est la étranger demoiselle alaouite de cette état de la expédition de Hama, une division multiconfessionnelle du épicentre de la Syrie, à périr depuis la bille du chef Bachar Al-Assad, le 8 décembre 2024.

Dhoua dormait, pile son époux, parmi une cousine, pendant lequel la localité adjacente d’Al-Suqaylabiyya, où lui-même devait transporter son rejeton, détraqué, parmi le thérapeute. « A 5 heures du cerbère, quelqu’un a tapé à la disposé. Ils ont pensé que c’vivait un accueillant. Ma ménagère est charmille entrebâiller. Son époux a accordé une paire de hurlement, ensuite avec macache, fors le boucan de la roadster », raconte sa femme. Ses proches ont emblée représentant un prédication sur son bigophone, qu’lui-même avait pile lui-même : « On paiera ce que vous-même voudrez envers la contrepartie. » Le prédication a été accepté. Il est resté rien réplique.

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