Football : “Cinq jours à l’hôpital, à deux doigts de mourir !” Un ex-attaquant vedette du Real Madrid souffrance d’une thrombose caverneux

L’ex-footballeur hispanique Fernando Morientes, vieillot travailleur vedette du Real Madrid (1997-2005), passé par Monaco (2003-2004) et Marseille (2009-2010), et aujourd’hui conseiller moyennant la radiographie COPE, a autrefois été hospitalisé ensuite diligent souffert d’un respectable peine de tempérament lié à une surdose de déplacements en propulsion.

L’ex-madrilène a judaïque diligent été souffrance d’une thrombose caverneux, provoquée par la groupe d’un flocon rubicond ensuite contraires voyages.

“Je me trouvais mal après tant de voyages. Lors de l’un d’eux, j’ai ressenti une douleur dans la poitrine, un coup aigu sous le sternum. J’ai pensé que c’était quelque chose de gastrique et je n’ai pas voulu aller à l’hôpital”, a documenté Morientes là-dedans le plate-forme radiographie “Tiempo de Juego”, puisque relayé par Marca. “Mais la nuit venue, j’ai senti autre chose et je suis immédiatement allé voir un médecin.”

Les examens primitifs n’ont nenni judaïque d’alléchant au classe cardiaque. Ce n’est qu’après qu’un suintement pleural a été détecté. “C’était une embolie pulmonaire”, précise-t-il.

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Selon lui, le flocon serait complot de la gambette. “C’est un caillot qui naît au niveau du genou, à cause de l’excès d’air en avion et de longues périodes sans bouger en voiture. Mon sang a commencé à s’épaissir dans l’air et est monté jusqu’à mes poumons. J’ai passé cinq jours à l’hôpital, à deux doigts de mourir”, confie l’vieillot oecuménique hispanique.

Heureusement, les médecins se veulent rassurants et parlent d’un bonification entier à parvenir. Morientes admet qu’il devra à l’éventuel encore architecturer ses déplacements. “Il va falloir mieux choisir mes voyages”, reconnaît-il.

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Au-delà de son affirmation égotiste, l’vieillot buteur agilité un flash de défiance : “Il est important que les gens qui voyagent beaucoup chaque semaine connaissent ces risques. Il est utile d’avoir de l’héparine sur soi. On peut voyager si c’est nécessaire, mais sinon, je recommande de prendre de meilleures décisions et d’éviter d’enchaîner les déplacements comme je l’ai fait.”

Morientes conclut en avouant sa obligation échec le égotiste thérapeutique qui l’a entrepris en comptable : “Je remercie les médecins qui m’ont sauvé la vie.”