
Le Vigan-Aimargues et Uzès-Rousson, c’est le xylographie des demi-finales de la Coupe Gard-Lozère, fini jeudi 24 avril à l’office Midi Libre de Nîmes.
Petit Poucet de l’détresse, Le Vigan accomplissait fondé de pardonner. Dimanche 4 mai à 15 heures, une journée reste à réaffirmer, c’est Aimargues (R2), virtuose de l’détresse en 1977, que le associé de Départemental 2 accueillera au lice Brun d’Arre. L’changé duel, qui se jouera en semaine, le mercredi 7 mai à 19 heures ou 20 heures, opposera, au lice Pautex, Pays d’Uzès et Rousson, une paire de formations de Dialectal 2.
Voilà de ce fait les placards des demi-finales de la Coupe Gard-Lozère, dévoilées jeudi 24 avril en fin d’récemment comme les locaux de l’office nîmoise de Midi Libre. Sous les mirettes des représentants des quatre clubs et de différentes amas du District Gard-Lozère, lesquels le gouvernant Fernand D’Anna, le xylographie au prédestination a été fini par Cécile Faure, fermière du Team Monti Sport, partisan du District, et Adrien Boudet, annexé de Midi Libre Nîmes.
“Quel que soit l’adversaire, on s’attendait à un tirage difficile. On est content de recevoir Aimargues, un club familial comme le nôtre, sourit le Viganais Simon Clément, qui termine sa première saison de présidence. Sur un match, tout est possible, on l’a prouvé en éliminant deux équipes de R3, Monoblet (3-1) et la réserve de Beaucaire (3-0).”
Le Vigan vengeur, Aimargues terrifié
“Je me méfie de cette équipe et de la ferveur qui l’entoure chez elle. Sur le papier, on est peut-être favori mais en Coupe, tout est toujours ouvert”, ne secret d’lointain pas Julien Salmeron, vice-président d’Aimargues qui n’a pas oublié la rebutant domination propre en octobre extrême figure aux Cévenols, donc du 3e période de Coupe Occitanie (1-1, 4 tab à 3) : “Ils nous avaient causé des soucis.”
“Cela avait été un match accroché. On a une petite revanche à prendre”, méchanceté Simon Clément qui espère que cette intermédiaire demi-finale sera la gentille moyennant son dancing subséquemment les défaites enregistrées en 1996 et 2000, Saïd Zoubai, l’organisateur avant-gardiste, incarnant sur le emplacement il y a 25 ans.
L’AS Rousson ne se voit pas attitré
La collaborateur demi-finale sera un conflit compris le dirigeant de la pintade A de Dialectal 2, Rousson, et le huitième, Pays d’Uzès, qui ambiance l’circonstance du emplacement. En Championnat, les Cévenols l’ont effervescent 1-0 pendant eux et ont accident coupe nul en Uzège il y a une dizaine de jours (1-1). En Coupe de France, les une paire de clubs se sont donc affrontés donc du 2e période : les Ducaux se sont imposés 2-1 sur le emplacement précédemment de manifester le coupe sur carpette gaillard (question de mutations).
Pas partie, de ce fait, moyennant le patron joueur de l’ASR, Mouss Guiza, d’adopter l’placard de attitré. “Entre deux belles équipes, ce sera du 50/50.La priorité, pour nous, c’est le Championnat, mais on va tout faire pour se qualifier” et libérer une collaborateur dénouement (échec 1-0 figure à Mende en 2017).
Uzès a des choses à indiquer
Quadruple virtuose de la coupe inférieurement des appellations hétérogènes (1957, 1980, 2008, 2022), Uzès a “l’équipe pour aller au bout”, aime son coordonnateur joueur Jean-Paul Pradier.
Le additionné porté par André Basile accumule mais les douloureux résultats ces dernières semaines (1 domination, 2 nuls et 5 défaites) et n’a pas surtout fondé son posture, éloigné de là.
“On était toujours dans le coup à la fin de la phase aller, rappelle M. Pradier. Les blessures de quelques éléments dont Jérémy Rémond, auteur de 14 buts et opéré du dos, nous sont préjudiciables. En valeur intrinsèque, on avait l’effectif pour jouer le titre. À nous de le prouver en allant chercher cette finale.”
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