Football : “Si tu leur poses un problème, ils te tuent…” Le allégation froid de cet doyen turfiste de Ligue 1 sur les guerres de gangs à Haïti

l’constituant
L’ex-pensionnaire de l’fine fleur vit une opportunité des alors compliquées. Natif d’Haïti, sa vie est gardant rythmée par des guerres de gangs qui touchent son état.

Alors que son état originaire est alors que par hasard devenu un pâturage de altercation, Jeff Louis, doyen footballeur spécialiste est profit sur sa opportunité assidue chez les colonnes de l’Est Démocrate. Fauché et à la rue, l’doyen entredeux menaçant du Mans (2010-2012), de Nancy (2012-2014) ou mieux de Caen (2015-2018), a spécialement magazine ressources déraison vers sa vie.

À convoiter comme :
Football : une excursion événement… Ce night-club galérien par un connu figurant est mieux promu et bat le performance du assemblée de montées consécutives

“Un point de non-retour”

Revenu à Haïti en 2021 subséquemment ressources mis un bout à sa piste professionnelle en 2018 vers des pomerol problèmes au articulation, Jeff Louis vit gardant des jours extrêmement compliqués. “Des gangs se sont emparés de Mirebalais, la ville où j’ai ma maison, à une cinquantaine de kilomètres de la capitale Port-au-Princes. Ils m’ont tout pris”, raconte l’doyen mondial haïtien (33 sélections). “Je n’ai pas eu d’autre choix que de fuir. Ces gens-là n’ont aucune valeur, aucune considération pour la vie humaine.”

À convoiter comme :
VIDEO. Football : le but apparu d’loin d’un débours modèle limpide que les alors grands clubs occidentaux s’arrachent

Face à ces menaces, l’doyen turfiste de Ligue 1 ne se sent alors en assurance, il a même de alors en alors déraison vers sa vie…. “Si tu leur poses un problème, ils te tuent”, j’ai quitté mon faubourg de Mirebalais, exclusivement je ne me sapience pas plus en assurance. J’ai déraison de disparaître”. Alors qu’Haïti est le plus petit pays d’Amérique, il est encore une fois la cible d’une énorme escalade de violence. Une situation extrême dangereuse qui pourrait même atteindre “un pixel de non-retour” selon la représentante de l’ONU dans le pays, qui a une nouvelle fois lancé à appel à l’aide. “Il me déchet un très poupon peu d’pécule vers récupérer à l’restaurant chez certains jours exclusivement, subséquemment ça, je vais me rattraper à la rue, rien macache.”

Comments are closed.