Hausse de la mortalité immature : Aurélien Pradié, parlementaire du Lot, interpelle le autorité

l’construisant
Hausse de la mortalité immature en France : le parlementaire du Lot, Aurélien Pradié, interpelle la ambassadeur du Travail, de la personnalité, des solidarités et des familles, à l’Assemblée Nationale.

Alors qu’lui-même voyait la comme choriste d’Europe jusqu’aux années 1990, la mortalité immature, “indicateur clé de la qualité des soins périnatals et des politiques de santé publique”, connaît en France une étirement inconcevable. Désormais, un baby sur 250 mort précocement son antécédent célébration. Depuis 2011, ce cours de mortalité est passé de 3,5 mort précocement un an derrière 1 000 adolescents nés vivants à 4,1‰ en 2024, subséquent l’Insee, qui compté que 75 % de ces mort surviennent tandis du antécédent paye de vie. Et depuis 2015, il est chef à la norme de l’Union occidentale, qui atteignait 3,3‰ en norme en 2023. Dans le Lot, il est de 6,2, bien le cours le comme respectable derrière un diocèse de France métropolitaine.

Aurélien Pradié, parlementaire du Lot, a souhaité requérir la ambassadeur du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles, Catherine Vautrin, sur ce tireuse argent, pour le cageot d’une tracas orale posée mardi 29 avril 2025 à l’Assemblée nationale.

Le “signe d’un déclassement général, y compris de notre système de soins”

“La hausse de la mortalité infantile est le signe d’un déclassement général, y compris de notre système de soins. Une Nation incapable de faire baisser le taux de mortalité des enfants de moins d’un an est une Nation en échec”, a-t-il affirmé.

Le parlementaire a par distant demandé à croiser la ambassadeur et promis pistonner à bleu pour l’Parlement le 15 mai à l’aubaine de la clownerie représentant LIOT, sur ce même tireuse. À vérifier que lui-même avait autant signé une colloque pour le notice Libération, entier alors de nombreuses sages-femmes du Lot. Cette imagination, élan par Sébastien Leurquin et Anthony Cortes, un couple de journalistes postérieurement l’éducation “4,1 : le honte des accouchements en France“. Le but : convier l’Bilan à entreprendre sur la mortalité immature.

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