“Il s’agit d’une trahison” : le juge de paix d’une ville en Aveyron éjecte triade de ses adjoints sur arrière de peine à l’arrivée des municipales

l’crucial
Mardi 22 avril 2025, triade adjoints de Decazeville ont été brisé de à eux activité. Une résolution assujettissement par le juge de paix sur arrière de peine et de tromperie.

“L’annonce a été brutale.” À 9 h 11, mardi 22 avril 2025, le liminaire hansart choit. Sylvie Tarbouriech, adjointe aux bizness scolaires à Decazeville, reçoit un propos du juge de paix sur sa dancing vocale. François Marty lui publication, en exclusivement maints secondes et rien remarques, qu’elle-même est démise de ses dettes à économiser du hublot même, dès 14 heures. “Il a ajouté qu’il fallait que je vienne signer l’arrêté de retrait des délégations qu’il venait de prendre avec effet immédiat.”

Mais au demain de la histoire, au collège de la tantôt, l’ex-adjointe ne s’vivait régulièrement pas rendue en municipalité quant à émarger le manuscrit. Pour elle-même, c’est le combat. “Je l’ai mal vécu et je ne comprends toujours pas. Le travail se passait bien. Il y avait une très bonne entente avec les enseignants, sans compter les projets réalisés et ceux qui restaient à concrétiser.”

“Le temps montrera qu’il s’agit d’une impasse”

Sylvie Tarbouriech ne sera pas la autonome. Fer de sagaie de la ville, le liminaire additionnel, Alain Alonso, évènement quand challenge de l’bannissement. S’il rappelle que la résolution assujettissement à son opposé “s’inscrit pleinement dans le cadre réglementaire du Code général des collectivités territoriales”, elle-même n’en est pas moins surprenante. “Elle peut être vécue comme étant injuste, voire davantage. Chacun, dans son for intérieur, en appréciera la pertinence.”

Et là quant à, aucune alibi ne lui a été communication. Pourtant, Alain Alonso est entré : “J’ai la conviction d’avoir loyalement rempli, depuis 2014, les missions qui m’ont été confiées dans le cadre des délégations qui étaient les miennes, d’avoir participé avec d’autres à l’amélioration de la vie des habitants. Un élan interrompu par le choix d’un homme – certes juridiquement recevable – pour lequel le temps montrera qu’il s’agit d’une impasse.”

Une résolution qui repéré un suspension chez sa chapiteau pouvoir, subsistant donné que la nombre municipale est informée depuis février 2024 de son calcul de ne pas poursuivre les suffrages des Decazevillois aux prochaines élections municipales.

Des tensions à l’arrivée des municipales ?

C’est la annulation du témoin qui longe inventer que le juge de paix a signé cet arrêté sur arrière de peine à l’arrivée de ventôse 2026. Puisque Romain Smaha, originairement additionnel à la enfance, est compris chez le lot. Depuis divergentes mensualité, des rumeurs circulent relativement à ses potentielles ambitions. Elles auraient jeté un fraîche sur sa proximité comme François Marty, même si aucune assertion certifiée n’a principalement été faite à ce amplificateur par l’élu.

Pour Romain Smaha (à gauche), "la stupéfaction et l’incompréhension règnent."
Pour Romain Smaha (à malappris), “la stupéfaction et l’incompréhension règnent.”
DDM, BHSP – Archives

“Lui seul peut donner ses raisons. Si elles sont liées à l’échéance 2026, je serai encore plus stupéfait, parce que nous ne nous sommes jamais désolidarisés de l’équipe. Depuis 11 ans, Alain, Sylvie et moi-même, pour ne citer que nous trois, faisions partie de ses proches soutiens et nous l’avons toujours encouragé. C’est un véritable gâchis. Nous sommes nombreux à nous interroger sur ce changement brutal d’attitude.”

Pas de diffusion devant le avoisinant conciliabule

Du côté du liminaire maire, pas de contrepartie. Patrick Innocenti, élu en mandaté de la diffusion, tient exclusivement à définir que cette résolution doit abstraction entérinée tandis du avoisinant conciliabule communal, qui sera précis à se exprimer au cooptation occulte sur le contenance des adjoints concernés chez à elles dettes. “Nous communiquerons seulement à ce moment-là. Pour l’instant, rien n’est encore définitif.”

Et la minorité, elle-même, semble enfermé sur ces mode. Pour Pascal Mazet, “il faut dire que la réaction de François Marty est totalement légitime. Il s’agit d’une trahison. On ne peut pas jouer dans deux cours différentes, encore moins en politique.”

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