Interview. Christian Pagès, promotrice de la emprisonné de Luchon : “Un espace à la fois moderne, chaleureux et accueillant”

l’basique
À l’dénouement de l’vernissage de la emprisonné de Luchon, ce vendredi 25 avril, Christian Pagès, promotrice du espoir, a répondu aux questions de la Inédite du Midi.

La emprisonné de Luchon a été inaugurée une début jour en 1 873. Quelle a été votre page de avenue revers la échanger ?

“Nous avons reçu des consignes précises de l’architecte des Bâtiments de France. Il nous a demandé de restaurer le clos couvert, c’est-à-dire les façades, tout ce qui est visible de l’extérieur, et ce, le plus proche possible de son état d’origine – y compris les couleurs, les teintes d’enduits, les menuiseries. Nous avons donc restauré les marquises, avec toute la structure métal fonte et les menuiseries avec la teinte qui avait été vraisemblablement mise dans les années 1950”.

Il fallait aussi que cette emprisonné s’inscrive pour son ancienneté, qu’elle-même sinon inventif ?

“Il y a effectivement toute la fonctionnalité à l’intérieur, avec tout un tas de système de communication pour la gestion de lignes. Dans le hall, nous avons essayé de faire quelque chose de chaleureux, d’accueillant, en travaillant avec un apport de bois. La gare va fonctionner en autonome, sans personnel, avec un distributeur de billets à l’extérieur. Il fallait donc mettre des matériaux solides”.

Et qu’ils soient représentatifs des Pyrénées ?

“C’est une idée d’architecte de mettre ces panneaux de bois à l’image des sommets pyrénéens sur les murs et ce, à la base, pour les protéger. Nous essayons de donner un esprit, une philosophie au projet. Là, il y a une dimension symbolique qui est de faire un rappel de l’environnement afin, comme l’a dit la présidente de Région, de préparer les visiteurs à leur arrivée dans les montagnes. C’est à la fois un clin d’œil pour signifier que cette gare n’est pas n’importe où. Et on le montre dès l’arrivée des voyageurs”.

Que reste-t-il à entreprendre revers aboutir le espoir ?

“Il reste des espaces libres, qui vont être valorisés par la Région. Un appel à projet est en cours. Il y aura une partie muséographique, des logements à louer à l’étage pour les saisonniers, et dans la partie sud, il va y avoir l’office du tourisme avec une boutique de produits locaux et une partie cafétéria snack”.

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