“J’ai besoin de ça pour progresser” : par conséquent Léon Marchand a décidé de s’exhiber sur le nage à cause la réfection de la période ?

Lors du “Tyr Pro Series” de Fort Lauderdale familier de Miami, Léon Marchand a été annoncé sur triade de ses courses fétiches (200 m touillé, 200 et 400 m 4 nages) malheureusement pareillement sur les 200 et 400 m brasse émancipé, un duo de fonctions inhabituelles à cause le plongeur de 22 ans. Pour sa coupe de réfection, il s’agira capote à cause le géant des JO de Paris 2024 de absorber plusieurs repères.

“Je vais essayer d’être en forme pour pouvoir faire des bons temps et savoir où j’en suis, parce que je n’ai aucune idée d’où j’en suis !”, expliquait-il autrefois tandis d’une joute comme autres médias tricolore, lequel l’AFP.

Après son étonnant été 2024 divisé de quatre titres olympiques parmi la bain de La Haubert, le plongeur avait repris la coupe dès le salaire d’octobre en disputant triade étapes de la Coupe du monde en bref auge en Asie, monsieur de se entreprendre rejoindre par la rassasié. Se disant accablé, il avait renoncé aux Championnats du monde en bref auge en décembre à Budapest.

“Sortir de ma zone de confort”

“J’ai eu un petit coup de mou au niveau énergie et au niveau mental. Je n’avais pas vraiment envie de me lever le matin pour aller à l’entraînement. J’étais un peu plus fatigué que la normale”, reconnaît-il.

Le absence de se ressourcer s’est lorsque document puer et Marchand s’est éloigné en arrivée d’période à cause un déportation de triade salaire en Australie, où il a repris l’engrenage dessous les ordres de Dean Boxall, démontré entraîneur de brasse qui a particulièrement porté Ariarne Titmus et Mollie O’Callaghan au niveau de championnes olympiques à Paris.

C’est là-bas, comme cet coupé anomal et bien-aimé, que Marchand a mis l’modulation sur le nage. “Dean Boxall a beaucoup de médailles olympiques dans les distances de nage libre, et 80 % de son groupe sont des crawlers”, explique-t-il. “On a fait beaucoup de techniques, beaucoup de séries qui préparent au 200 et 400 crawl.”

De répétition comme Bob Bowman

Depuis, Marchand a retrouvé son coupé Bob Bowman au Texas où il continue de intensifier sa brasse émancipé, son exploit de la bruit olympiade en vue des JO de Los Angeles en 2028. “Chaque année, je change plein de choses, j’ai l’impression que si je refais la même chose, je vais m’ennuyer et je ne vais pas nager plus vite”, détaille-t-il. “J’ai besoin de ça pour progresser, j’ai besoin de sortir de ma zone de confort et de faire des choses que je n’ai jamais faites auparavant”.

“Si j’ai envie de nager plus vite, j’ai besoin de changer ma stratégie, de partir sur de nouvelles courses où je n’ai aucun repère. D’ailleurs, je ne sais pas du tout comment on nage un 400 m crawl !”, plaisante-t-il.

Pas de grandes références sur le nage

“Ça va le faire parce que Bob (Bowman) sait faire, mais les premiers 400 m crawl ne vont pas être faciles. Mais ce seront aussi les plus excitants parce que c’est tout nouveau”. Sur cette variété, son geste individualiste, qui occasion de janvier 2020, ne montré qu’à 4’4”65, entreprenant distant du geste du monde en 3’39”96 de l’Allemand Lukas Märtens réel mi-avril.

Mais pas de à laquelle abaisser le Français. “En fait ça me fait vibrer parce que je ne sais pas si (ce genre de chrono) est possible pour moi !”, dit-il. En Floride, Marchand retrouvera moyennant 700 nageurs, lequel de différents champions olympiques, à l’figure des Américains Caeleb Dressel et Katie Ledecky ou de la Canadienne Summer McIntosh. Avec en défilé de mire, les Championnats du monde de Singapour cet été, qu’il dit possession “envie” de quereller.