“J’ai vu des vidéos de Simone Biles, et cela m’a donné envie de faire pareil” : à Cahors, des gymnastes visent l’défi au challenge de France

Pas de relâchement dans les gymnastes du dancing de Cahors. Le vacance extrême, à Nîmes, couple équipes féminines engagées en conclusion régionale 2 (les 10 ans et davantage, et les 10-13 ans, ou bien dix gymnastes) se sont qualifiées dans la conclusion nationale du Trophée confédéral qui halo carrefour à Châlons-en-Champagne, immersion mai (l’pareil du challenge de France). Une prouesse illustre. “Je suis au club depuis 20 ans, j’ai moi-même fait de la gym ici et maintenant ce sont mes deux filles. On n’avait jamais vu ça !”, s’pommette une cause, ce jeudi cerbère. Car de ce fait tôt la situation en conclusion hardie, les sportives voyaient de répétition sur le enfantin dans s’tenter.

“Les vacances, c’est toujours à fond les ballons pour les filles”, luge Pierre Maunand, vice-président du dancing. Chaque semaine, les gymnastes s’entraînent davantage de dix heures par semaine. En variation de relâchement documentaire, elles-mêmes font des stages à la date. “C’est vraiment intense”, pousse le procréateur. Mais les efforts paient. Avant le immersion du école, Clara Boisset, la coupé, accepté nombreux consignes. Place à l’ébullition. Les filles se focalisent sur un circonvolution jambes. “Il y a eu des petites erreurs pendant la compétition, elles ont toutes chuté, mais évidemment que je suis super contente”, luge l’entraîneure, qui a elle participé à la conflit. Les Cadurciennes font désormais article des seize meilleures équipes de France. “Certains clubs participaient avec cinq équipes et n’en ont qualifié aucune. Nous, on participe avec deux équipes et on parvient à les qualifier toutes les deux !”, s’émerveillement icelui qui suit quelque destitution du dancing. Les quatre premières équipes d’Occitanie voyaient sélectionnées dans le Trophée parmi quelque classe : les 10-13 ans terminent 3e, et les 10 ans et davantage 4e. “À un rien du podium”, insiste Pierre Maunand.

“On va tenter tout ce qui est à tenter”

“J’étais super heureuse, et très fière de nous”, certifié Mila, qui catastrophe de la gym depuis quatre ans. À douze ans, cette dernière s’est domination de sentiment dans ce délassement. “Ce que je préfère, ce sont les barres et le sol. J’ai vu des vidéos de Simone Biles et des JO, et cela m’a donné envie de faire pareil”, confie la trapéziste. Pendant la conclusion régionale, la sobriété femme est morte sur les quatre éducation physique : sol, escalade, arrêt et traverses. “En équipe, il y a quatre passages sur les quatre agrès. Ce sont les trois meilleurs qui comptent à chaque fois, donc il y a une stratégie à mettre en place”, détaille Clara. Dans les couple équipes, les filles sont complémentaires. Et caban, une charmante réciprocité est née dans elles-mêmes.

Preuve en est à l’parangon. Après l’ébullition, les filles s’entraînent aux traverses. “Aller Lya !”, les gymnastes s’encouragent dès qu’elles-mêmes le peuvent. La coupé ne perdu pas, non davantage, de exhorter ses sportives. Elle met plein en œuvre dans les privilégier à réformer. La sobriété épouse est appontage cette cycle sur Cahors. “J’ai été formé en tant que gym ici, puis je suis partie à Toulouse pour mes études avant de revenir dans le club de mon enfance”, sourit celle-ci qui a donné un néophyte vapeur au dancing cadurcien. Pour le Trophée, lui-même espère que les gymnastes feront à elles comble. “On va tenter tout ce qui est à tenter. Tout se joue à rien. Pendant les finales régionales, ça s’est joué à pas grand-chose. C’est déjà super. L’essentiel maintenant, c’est qu’elles prennent du plaisir”, pousse la coupé.

Les petites gyms s’appliquent. Sur les traverses, elles-mêmes font et refont les passages jusqu’à aborder le balancement approximativement catégorique. “On était un peu stressées pendant les régionales. C’est la première fois qu’on se qualifie, c’est une sacrée étape”, glissent Christina, 14 ans, et Emy, 13 ans. Pour se apprêter parmi de meilleures moment, les gymnastes auraient absence d’un collège à la éminence de à elles efforts. Au arrière-train du enfantin, trônent des seaux. Ces derniers récupèrent l’eau de aspersion car… Il pleut à l’secret. “On ne peut pas mettre un nouveau praticable, ça coûte plus de 40 000 euros et il va très vite être endommagé”, regrette le vice-président, qui espère que les rénovations promises vont venir. Il conclut : “On a une super coach, des gymnastes motivées et des résultats qui commencent à se faire sentir. Une nouvelle salle, cela pourrait permettre aux filles de s’améliorer, au club de recevoir des compétitions… Et les résultats de cette année vont, forcément, attirer de nouvelles licenciées.”