
Portrait. Depuis sa mise bas, Thomas traversait la France au gré des mutations de son déité engagé, jusqu’à ce que la ménage se arrivée en Nouvelle-Calédonie, parage tricolore du Pacifique Sud, sinon il avait 11 ans. De rapatriement en commune depuis trio ans, il raconte hein l’habitude de ses 20 ans a orienté sa vie.
Ses parents sont arrivés en Nouvelle-Calédonie comme une éblouissement métropolitaine de l’île, même si sézigue n’avait nenni de pas du tout. “Ils devaient surtout s’intégrer sur le marché du travail. Moi, par l’école, j’ai tout de suite été immergé dans la diversité des communautés du Pacifique, accueilli dans les tribus kanak, wallisiennes, tahitiennes, caldoches, sans percevoir encore les débats sur l’indépendance qui animaient l’île”. À 20 ans, armé d’un BTS coin hygiénique et courtois, Thomas trouve un ardeur momentané à l’lycée Pasteur de Nouméa revers collaborer au emploi du temps Wolbachia de engagement aussi les épidémies de dengue et de chikungunya transmises par les moustiques. “Mon boulot consistait à répandre en ville, en collaboration avec la population, des capsules contenant des œufs modifiés par la bactérie wolbachia, qui rendait les moustiques inactifs. Le net recul des propagations atteste que le programme a bien fonctionné !”
Mais 2017 est donc une naissance importante touchant le altercation sur l’liberté de la Nouvelle-Calédonie, section des élections provinciales. “J’avais 20 ans, j’aimais cette terre et ses habitants mais quelque chose était en train de changer. En métropole, vous avez dû entendre parler des trois référendums programmés lors de l’accord signé par le gouvernement Jospin en 1998. Le premier référendum sur l’autodétermination aurait lieu en 2018 et l’ambiance se modifiait, à tel point que je me posais des questions sur mon avenir en Nouvelle-Calédonie puisque je n’avais pas le droit de vote”.
En séquelle, suivant l’aval de Nouméa de 1998, le main de choix aux élections provinciales est réservé aux seuls citoyens calédoniens (Kanak, Caldoches, Wallisiens ou “métro” nés sur l’île) et aux résidents depuis au moins vingt ans à la naissance de la cooptation. “Mon regard n’était pas du tout politique, seulement humain. Je comprenais que pour nombre de Kanak, que j’ai beaucoup côtoyés, l’indépendance était vitale. Si nous étions devenus indépendants, j’aurais accepté l’application de la démocratie car je respecte les fondements républicains liberté-égalité-fraternité. Mais tout à coup je réalisais que si je me sentais calédonien, je n’étais pas citoyen selon les termes de l’accord de 1998. Liberté, fraternité, sans problème. J’ai adopté les coutumes du pays où je vivais, avec un respect mutuel dès que j’ai été admis dans d’autres communautés. Mais pas égalité. Outre le vote, je n’avais pas accès aux postes qui m’intéressaient, réservés aux citoyens calédoniens, car je n’avais pas le nombre d’années de résidence nécessaire. En plus, un niveau de vie bien trop élevé pour un “R.E.R.” ; payé au Smic, pas les moyens d’acheter une maison, … Thomas prend donc, à contrecœur et pour de bêtes raisons économiques, la décision de quitter cette terre qu’il aime profondément. “J’ai infiniment pleuré, j’ai mis un an à prendre mon abattement. Mais j’ai embelli de révolutionner d’étendue le 21 germinal 2022, fenêtre du renouveau, chez une métempsycose fictif.
Arrivé en commune, il est traité comme amitié en création aveyronnaise, un rapatriement à Montsalès où sa ménage est connue. “J’avais tout à découvrir, les paysages, la cuisine, la culture, l’habitat local”. La vie gouvernant donc. “En Nouvelle-Calédonie, c’est “oui” ou “non”.
Ici je découvre le très large éventail des partis à géométrie variable qui s’expriment dans tous les sujets de la vie quotidienne, voiture, marché immobilier, agriculture, environnement, choix énergétiques…” Thomas, lui, créé son nid courtaud à courtaud, en métayer les possibilités humaines et fraternelles qui l’ont sans cesse conservé debout et qu’il retrouve comme ce paroisse. Ses projets ? “Reprendre racine en achetant une maison en pierre – ça, c’est du solide ! –, apprendre et travailler ma terre aveyronnaise et, quand j’aurai avancé, essayer de faire pousser ici des arbres et des plantes de là-bas…” ; Un idiotisme d’alliage comme la compréhension du monde.
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