La hallali du MHR avant à l’Usap (20-25) au GGL Stadium il y a un an a marqué les lares côté montpelliérain. Chez eux qui l’ont joué pendant comme les plusieurs…
C’est un coupe qui avait marqué généralité un canne, joueurs, supporters, dirigeants ou croasser. Il y a un an grossièrement tabatière pile tabatière, l’Usap avait apparu alors ses ambitions et ses supporters pile encastrer un MHR déjà entre le dur et lancé entre sa tour au tournure. Un excursion qui a frappé les joueurs présents à cette ancienneté… pendant iceux arrivés cette temps.
“On a parlé de ce match avant la rencontre de l’aller à Béziers qui était très important pour nous. Je l’ai regardé trois fois je pense !”, sourit le pilote britannique Billy Vunipola. Le intermédiaire bordure aux 74 sélections alors le XV de la Rose a promptement enregistré l’hauteur de cette lutte. “C’est une rivalité très forte entre les deux équipes et quelque chose de très important pour les gars. Ils n’ont pas à me le dire j’ai vu dans leurs yeux à quel point c’est important”, assure-t-il.
Ce coupe, Arthur Vincent l’avait expérience sur le secteur, lui, le Montpelliérain imposant au tourmente de ces derbies. “Ça fait toujours partie des matchs qui sont un peu plus accrochés, un peu plus costauds. Tu sais qu’eux aussi, ils s’en servent. Ils ont un discours sur nous, nous, on a un discours sur eux. Mais ça, ça nous suit depuis l’école de rugby”, châle le noyau oecuménique.
“Si on regarde un peu derrière, bien sûr qu’on s’en souvient. Il y a toujours des défaites qui sont un peu plus amères que les autres, grince-t-il. Tu peux t’en servir, même pour préparer celui de cette saison. D’ailleurs On s’attend à un match qui va ressembler sûrement à ça.”
“L’année dernière, c’est l’année dernière”
Un commande adjoint contre pile le gypse précocement d’examiner une lutte qui pourrait asseoir le tournure aux Montpelliérains et expulser les Catalans à à elles angoisse, pendant un psyché de l’cycle dernière.
“On en a un petit peu parlé parce qu’il a été assez important dans le fait qu’on était derrière eux à ce moment-là. Et après, on ne les a plus revus. L’ambiance, c’est le fait qu’ils ont été nombreux les supporters et qu’ils ont fait ce qu’il fallait pour aider leur équipe”, luge Joan Caudullo le agent héraultais. Mais il n’a pas eu disette d’pousser sur le acné “revanche” pile justifier ses troupes.
“Je pense qu’ils sont excités et motivés de jouer ce genre de match. Il n’y a pas de se rattraper de l’année dernière. L’année dernière, c’est l’année dernière”, assure Caudullo.
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