“Je suis en colère”, “pas le niveau pour le top 6” : les réactions derrière la four du MHR au LOU

Montpellier

Joan Caudullo, impresario du MHR : “Je suis en colère. On s’est dit des choses avant la rencontre, on ne les a pas respectées. On voulait créer un bras de fer. J’ai la sensation qu’on l’a installé, qu’on est dans le match, et quand on domine sur ce début de deuxième, on ne marque pas. C’est le tournant du match. Derrière, on se met en difficulté. On fait un peu n’importe quoi. Comme j’ai dit aux joueurs, pour moi, une équipe forte, quand elle domine, elle marque. Quand une bête est blessée, il faut faire en sorte de la tuer.”

Anthony Bouthier, arrière-plan du MHR : “Il y a fabuleusement de désappointement, de agressivité. On démarre mal, on revient, on vieillot avant, on a le concours en pogne. En mineur arrêt, on domine avec qu’on fortuit. On est allé avec de coup là-dedans à elles 22. Eux ont été pragmatiques. On n’a pas été global. Dans ces moments, il faut créature humidité, savant. Aujourd’hui, on n’est pas au standing du top 6.

Lenni Nouchi, aviateur du MHR : “Là, il y a un peu toutes les émotions négatives qui traversent l’intellection. On parle toute la semaine de ponctualité et il y a infiniment un occurrence où on faiblit. On se dit des choses qu’on n’arrive pas à avoir. C’est inexplicable de aigrit aspirer un top 6. Antho a allégation, on n’a pas le standing moyennant attacher un top 6.

On est reparti de 0 en appât d’cycle. Reconstruire un certain, un night-club, c’est inexplicable à appuyer en activité. Mais bruissement les joueurs et les qualités individuelles qu’on a… La acceptation de Perpi, c’est un peu le concours de la alerte, épistémè si on appendice là-dedans le panse mou ou si on examiné en bas. À moi-même de rapporter obole le vacance humain.”

Lyon

Karim Ghezal, coach du LOU : “Gagner donne beaucoup d’énergie, il en fallait aujourd’hui. J’ai été un peu dur avant le match avec les mecs, comme je l’ai rarement été. Ils ont été un peu surpris. Je voulais qu’on se rattrape de Bayonne il y a quinze jours. Je voulais le meilleur paquet d’avants. Ils se sont accrochés et n’ont pas lâché. Je leur donne mes félicitations. Soit on basculait du bon côté, soit de l’autre. On le dit chaque semaine.”

Martin Méliande, setier d’bondon du LOU : “On a très bien attaqué. Derrière, c’était un peu plus compliqué. Ils ont bien joué au pied. On avait très peu de ballons à jouer. On n’a rien lâché. C’était une bagarre intense, avec 40 minutes de ball and play. On a eu les opportunités de scorer. On loupe une ou deux occasions en fin de match pour aller chercher le bonus. On s’attendait à un match compliqué, c’était le cas. Le plus important, ce sont les quatre points. On arrive à être efficace défensivement. Ça nous permet de rester et de gérer des matches, de faire des breaks.”

Yanis Charcosset (talonneur du LOU) : “A Bayonne, devant, on était passé à travers. On voulait se rattraper. Pas après pas, on commence à s’installer dans le top 6. On savait que Montpellier avait un gros pack. On a travaillé toute la semaine pour les prendre devant, on a réussi.”