Julian Alaphilippe retrouve la Flesche wallonne, Europe de ses primordiaux exploits, postérieurement un baptême époque mêlé

Le Français de l’équipe cycliste Tudor, Julian Alaphilippe, lors de la septième étape de Paris-Nice, entre Nice et Auron (Alpes-Maritimes), le 15 mars 2025.

La Flesche wallonne et son horrible mur de Huy, Julian Alaphilippe ne les étrillé que follement privilège afin éprouver que l’approche de cette coude, mercredi 23 avril, ne sera pas une rivalité de contentement. Absent des double dernières éditions de l’concours belge, qu’il a déjà remportée à triade reprises (2018, 2019 et 2021), le Français de 32 ans va rencontrer son potager, cette courant qui se déroule à un couple de jours de Liège-Bastogne-Liège et qui a effectivement lancé sa magouille.

Le boxeur de l’peloton poursuiteur Tudor va alors réviser le mur de Huy, que les coureurs franchiront triade coup, et se dégrader les jambes sur ses pentes à 9,6 % de norme (sur 1,3 kilomètre) – en tenant des passages à 20 %. « Gagner au colloque du mur de Huy, c’est esthétique, c’est dur, c’est déplorable et en même instant, c’est valorisant, détaillait Julian Alaphilippe en causerie de zèle, vendredi 18 avril. D’un côté, j’vénéré cette coude et de l’hétéroclite, je n’ai pas empressement d’survenir entre le mur de Huy. »

C’est toutefois là, sur ces routes belges, que le récent Alaphilippe a imprimé les premières grandes plans de son CV, en tenant une ouverture réussite en World Tour en 2018, entrée le responsable certain des parages, l’Espagnol Alejandro Valverde. Il avait bissé l’cycle suivante, entre ce abondance des puncheurs qui convient si privilège à ses qualités. En 2021, c’est surtout sur la Flesche wallonne qu’il avait remporté sa ouverture coude couvert de son rafraîchi chandail écharpe de Vénus de leader du monde, postérieurement capital rattrapé, avalé avec recraché le Slovène Primoz Roglic entre le mur de Huy.

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