Alors qu’un balustrade de fer est débuté compris l’Mémoire et la Arrondissement sur le soutien des impératifs de révision de la carnèle Auch-Toulouse, le représentant Renaissance Jean-René Cazeneuve évoque un “déséquilibre” compris territoires ruraux et métropoles à absorber.
Des impératifs ferroviaires originellement prévus en 2025 sur la carnèle de colis Auch-Toulouse ont été suspendus. Jean-René Cazeneuve se dit “surpris par les discours visant à dédouaner la Région de ses responsabilités” pendant un ordre enrichi à à nous discussion.
“Les faits sont clairs : c’est elle qui a demandé la suspension des travaux (pour redéfinir une trajectoire d’investissements soutenable, NDLR), alors même que l’État tient ses engagements dans le cadre d’un cofinancement équilibré”, déplore le représentant Renaissance.
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“En demandant à SNCF Réseau de geler les conventions financières en cours, la Région compromet la régénération de l’axe Toulouse-Auch, pourtant essentiel au développement de notre territoire […] Le Gers ne peut plus être le parent pauvre de la Région Occitanie. Trop souvent, les investissements se concentrent sur les métropoles de Toulouse et Montpellier, au détriment des territoires ruraux, juge l’ancien rapporteur général du budget à l’Assemblée. Ce déséquilibre n’a rien d’inéluctable : il résulte d’un choix politique que je conteste avec force.”
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Son titre évoque l’affable au location du prévision Mémoire-Arrondissement (CPER), adopté en crédit indéfrisable le 4 avril 2025, qui “prévoit un investissement de 1,5 milliard d’euros pour la mobilité” : “Parmi ces crédits, 382 millions d’euros sont spécifiquement alloués à la régénération des lignes de desserte fine du territoire (LDFT), dont 151 millions apportés par l’État et 198 par la Région.”
“L’obtention du dédoublement de la RN124 fut une avancée décisive. Mais ce combat est loin d’être terminé. Le développement du ferroviaire est aujourd’hui une urgence stratégique”, conclut le représentant Cazeneuve.
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