L’Afrique à la chagrin pile enrayer ses intérêts devanture à Donald Trump

Le président américain Donald Trump avant d’embarquer à bord d’Air Force One, à Morristown (New Jersey), le 27 avril 2025.

A en conjecturer le défenseur proviseur du administrateur étasunien pile l’Afrique, le prude est « fortement éminent » pile Donald Trump. « Il apprécie abondamment l’Afrique et les Africains », déclarait Massad Boulos chez une colloque à la BBC, le 23 avril. Des message surprenants, beaucoup les corvées firmes depuis cent jours par le preneur de la Maison Blanche semblent dire une oubli exhaustive de autorité pile cette arrondissement du monde. Quelles qu’en soient les conséquences à l’escabeau avantageux.

Dernier archétype, s’inscrivant chez la romance des coupes franches opérées par l’fonction publique Trump : Washington veut désormais clôturer le Millennium Challenge Corporation, une édification qui investissait des milliards de dollars chez des projets d’infrastructures, surtout en Afrique.

L’informé semble quasi secondaire, postérieurement le dispersion de l’Usaid, l’affaire étasunienne d’dépendance au accroissement, homogène par le administrateur dès son nomination au aigrit. Un repliement violent du proviseur banquier de la correspondance internationale, lesquels les population africains tentent principalement de digérer la cadencé. Notamment iceux, dans la Convoqué démocratique du Congo (RDC), l’Ethiopie ou le Kenya, qui captaient des financements planches dévolus aux urgences humanitaires, à la confiance nourrissant ou aux programmes de personnalité.

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