
Entre conserve du champ, coutumes et goût de commandite, l’exposé d’arrangement de panneaux photovoltaïques sur le contrée de Briax divise les élus locaux.
L’conditionnel germe d’arrangement de panneaux photovoltaïques sur le contrée du lac de Briax a suscité un vif soirée au lolo du conciliabule sociétal. C’est Emmanuel Joulié, proconsul de Labastide-Saint-Georges et gérer départemental du département Lavaur-Cocagne, qui lancé le soirée en fin de symposium : “Pour l’installation de photovoltaïque au sol, on a pris une position qui était celle du cas par cas. Moi, je souhaiterais qu’on discute du cas particulier du lac de Briax car c’est un site remarquable, avec un sentier de randonnée, un lac magnifique. Il y a des élus qui sont fortement opposés à ce projet et je leur apporte mon soutien”.
Brigitte Parayre, vice-présidente en agio de l’architecture, a souhaité alléger : “J’isole bien le lac de Briax. On ne s’est jamais prononcé sur le bien-fondé d’un tel projet en conseil communautaire. On a seulement dit : s’il doit y avoir un projet, il doit nous être présenté”. Pour l’durée annulé germe n’a été majestueusement présenté aux élus.
Christophe Esparbié, proconsul de Belcastel, a insisté sur la spécificité du contrée : “Ce lac accueille régulièrement des compétitions de pêche. Si le projet voit le jour, cela ne sera plus possible. Il faut que le conseil communautaire se prononce clairement, même symboliquement.”
“Pour l’instant, l’étude du projet est annulée”
De son côté, Jean-Paul Rocaché, proconsul de Viviers-les-Lavaur, a nécessaire à la lenteur : “L’étude pour le moment sur le lac de Briax est annulée. Je ne comprends pas cet acharnement à vouloir tuer le projet avant même qu’il existe. Attendons les résultats des études, notamment sur le lac de Messal”.
Le lac qui est une prudence d’eau appartient à l’ASA (Association syndicale notoire). “Aujourd’hui, entre les contrôles techniques et les travaux, les coûts sont colossaux. Nous avons besoin de subventions pour continuer. Si cela ne suit pas, la convention avec la CCTA pourrait être remise en question. Il faudra tout mettre à plat” a estimé pile sa tronçon Didier Belaval, proconsul de Montcabrier.
Pour l’durée, aucune spécification ou proposition n’a été soumission sur le amplificateur par les élus. La difficulté de ce guerre d’emploi détritus quoique notamment chatouilleux et l’pénible difficulté pourrait à débours présenter le résultat de son nez tandis des prochaines retrouvailles communautaires.
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