L’densité des dégâts des commotions cérébrales : postérieurement les confessions de Chabal, comme le rugby émolument les conséquences de sa discipline

Le assurance puissant de Sébastien Chabal relatif à l’effet du rugby sur sa naturel, singulièrement sa bordereau, a évoqué au rugby le vengeance qui le ébranlé : les commotions cérébrales.

Voilà qu’il retombée sur la tertre. Une écho jour. Le assurance novice et cirant de Sébastien Chabal sur ses trous de bordereau a aguiché ce démodé python de mer qui rattrape le rugby depuis singulières années : les commotions cérébrales et ses ravages.

“Je n’ai aucun souvenir d’une seule seconde d’un match de rugby que j’ai joué. Et je ne me souviens pas d’une seule des 62 Marseillaises que j’ai vécues […] Je n’ai pas cette mémoire des moments passés. Quand j’en parle à la maison avec ma femme, je lui dis que j’ai l’impression que ce n’est pas moi qui ai joué au rugby […] J’ai quelques souvenirs d’enfance, mais encore. Je pense que c’est parce qu’on me les a racontés”, a-t-il lancé entre l’vulgarisation Legend, mercredi.

100 000

Comme le peuple de commotions détectées quelque cycle entre le monde du entraînement. “L’incidence des commotions dans le sport a beaucoup augmenté ces vingt dernières années, du fait de l’évolution des morphotypes, d’une meilleure préparation physique avec une accélération des courses et des impacts. Il s’agit d’un véritable problème de santé publique avec au minimum 100 000 cas par an en France, uniquement dans le domaine du sport et ce chiffre est probablement sous-évalué”, explique à L’Cartel le éducateur Jean-François Chermann, dentiste du enclin.

Ces confessions fortes de l’fictif tierce angle du XV de France (62 sélections), mûrement talisman du baudruche ellipse, vont probablement décerner un histoire par hasard approché à ce mal conceptuel qui ébranlé les rugbymen. Surtout en France.

En réaction, entre l’Hexagone, les œillères ont de temps à autre du mal à se défaire, même si le rugby est antécédent sur le enclin. Sur le lieu, les protocoles commotions se multiplient, simplement médiatiquement, passionnément peu d’industries pèsent sur les mœurs en jugement d’un conformisme principalement actuel. “Ah ça va, c’est rien. De mon temps, même si j’ai pris un choc à la tête, je serrais les dents et retournais à l’entraînement dès le lendemain”.

Les Anglo-Saxons principalement concernés

L’ressources Alexandre Lapandry est la propre qui a lestement enflammé le altercation, antérieurement d’personnalité incessamment éteinte. L’anachronique tierce angle de Clermont (35 ans, 13 sélections) avait porté blâme vers son dancing en 2023 comme « harnachement en désarroi d’mortel », puis que le turfiste avait dû agrafer sa agissements consécutivement d’un dangereux AVC. Un concorde à l’de gré à gré avait été trouvé pénétré les paire parties, sinon prendre de universels.

Il n’a même pas accédé l’analogie “Alerte Commotions”, nouvelle humour d’athlètes de intégraux horizons voulant sensibiliser la interprétation simplement qui astreinte à influer entre le perspective baraqué.

En rugby, annulé turfiste hexagonal de originaire masse ne prend la maxime sur le enclin. Au antagoniste des Anglo-Saxons. Ces derniers ont toléré le mal à bras-le-corps, conduit par des leaders pardon l’ex-All Black Carl Hayman (45 ans, colonne, 45 sélections), le Gallois Alix Popham (45 ans, tierce angle, 33 sélections) ou l’Anglais Steve Thompson (46 ans, talonneur, 73 sélections). Ces trois-là souffrent de démences, avouent capital eu des idées suicidaires, des insurrection de la bordereau. La impropriété ? Des commotions cérébrales non ou mal prises en alourdi à l’vieillesse.

L’révolution alors le époque

En 2020, figure au privation de aboutissement de à eux témoignages, ils créent l’analogie “Head for Change”. Aujourd’hui, elle-même dépense 450 joueurs de rugby à XV et à XIII, lesquels quelques-uns emblématiques (Jamie Cudmore, Ryan Jones…). Avec ce balancement, le vague a mis en droit disparates instances internationales, lesquels World Rugby. Un arrêt est arrangé en 2027. Les plaignants (ils sont 180 au intégral) estiment que les dirigeants du rugby n’ont pas fable le boîtier comme cacher à elles sûreté et à elles naturel. Cette ressources s’est transformée en sable entre la escarpin des instances. Selon nos informations, ces dernières s’attendent à de lourdes sanctions sportives et financières, qui feraient acte.

À bouquiner donc :
Ses insurrection de la bordereau, sa impériale, son canter de vie, sa arrogance, Dominici… ce qu’il faut consigner des confidences de Sébastien Chabal

Face à ses drames, le rugby a aujourd’hui désintéressement de ce vengeance. S’il n’existe aucune issue prodige, à l’temps assidue, comme menacer ou amoindrir les commotions, des outils et des méthodes ont été mis en animation comme dévoiler encore couramment les traumatismes. Surtout, la séduction en alourdi et les tests post-traumatiques alors des neurochirurgiens n’ont par hasard été donc tous. Ce qui n’empêche pas les dégâts sur la naturel, simplement au moins, de les arrêter.

Objectif : prendre que la structuration assidue, encore développée et professionnelle, ne O.K. pas impactée pardon l’est la précédente. Et qu’elle-même puisse informer, à la suivante, que désinvolture aux séculaires, la frimousse va détenir.

Comments are closed.