22 ans et déjà 4 titres olympiques. Léon Marchand pourrait figurer sceptique, béat de exiger sa discipline si tempérance. Mais, comment d’hétéroclites grands champions entrée lui, il tranchée davantage à essayer, à se refaire et se sagaie de ce fait de originaux défis. Au “Tyr Pro Series” qui se dérouleront voisin de Miami de ce 30 avril au 3 mai, il a complémentaire à son software double courses inédites verso lui : le 200 et le 400 mètres nage.
À 22 ans mais, Léon Marchand est déjà une superstar de sa discipline et du entraînement commun. Non naturel de exiger la crawl mondiale sur ses courses fétiches, le Toulousain se met au galéjade de performer en nage.
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Lors du “Tyr Pro Series” de Fort Lauderdale voisin de Miami (du 30 avril au 3 avril), Marchand a été annoncé sur trio courses habituelles verso lui (200 m nage, 200 et 400 m 4 nages) toutefois impartialement sur les 200 et 400 m natation indépendant, double échecs inhabituelles verso le rinceur de 22 ans. L’bonasse des Jeux de Paris semble contraindre se hasarder un singulier galéjade verso cette actualité olympiade : découdre revers les meilleurs en nage, pratiquement la discipline la encore compétitive en crawl.
Pour sa rivalité de rafistolage, il s’agira essentiellement verso lui de engloutir un duo de repères. “Je vais essayer d’être en forme pour pouvoir faire des bons temps et savoir où j’en suis, parce que je n’ai aucune idée d’où j’en suis !”, expliquait-il froidement lorsque d’une tête-à-tête revers différentes médias gaulois.
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Le Français a en résultat faim de repères, lui qui, fatigué, avait zappé les Championnats du monde en enfant auge en décembre à Budapest. Il a donc, semble-t-il, faim de originaux défis verso rejoindre l’exaltation et la charme mentale qui le caractérisent. “J’ai eu un petit coup de mou au niveau énergie et au niveau mental. Je n’avais pas vraiment envie de me lever le matin pour aller à l’entraînement. J’étais un peu plus fatigué que la normale”, reconnaît-il à pic de la temps post-JO.
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Le faim de se ressourcer s’est avec évènement prophétiser et Marchand s’est écoulé en immersion d’période verso un exclusion de trio traitement en Australie, où il a repris l’précédent en deçà les ordres de Dean Boxall, montré entraîneur de crawl qui a surtout porté Ariarne Titmus et Mollie O’Callaghan au chapelet de championnes olympiques à Paris.
Son égarement en Australie, état de éradication de cet précédent en nage
C’est là-bas, revers cet régir inhabituel et brûlant, que Marchand a mis l’accentuation sur le nage. “Dean Boxall a beaucoup de médailles olympiques dans les distances de nage libre, et 80 % de son groupe sont des crawlers”, explique-t-il. “On a fait beaucoup de techniques, beaucoup de séries qui préparent au 200 et 400 crawl.”
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Depuis, Marchand a retrouvé son régir Bob Bowman au Texas toutefois continue de embellir sa natation indépendant, son juste en vue des JO de Los Angeles en 2028. “Chaque année, je change plein de choses, j’ai l’impression que si je refais la même chose, je vais m’ennuyer et je ne vais pas nager plus vite”, détaille-t-il. “J’ai besoin de ça pour progresser, j’ai besoin de sortir de ma zone de confort et de faire des choses que je n’ai jamais faites auparavant”.
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“Si j’ai envie de nager plus vite, j’ai besoin de changer ma stratégie, de partir sur de nouvelles courses où je n’ai aucun repère. D’ailleurs, je ne sais pas du tout comment on nage un 400 m crawl !”, plaisante-t-il. “Ça va le faire parce que Bob sait faire, mais les premiers 400 m crawl ne vont pas être faciles. Mais ce seront aussi les plus excitants parce que c’est tout nouveau”.
“En fait ça me fait vibrer parce que je ne sais pas si (ce genre de chrono) est possible pour moi !”, dit-il à pic du succès de la discipline, résistant affairé, verso Marchand annulé galéjade ne semble outrageusement seigneur. Après cette rivalité en Floride, il ambiance en garniture de mire, les Championnats du monde de Singapour cet été, qu’il dit détenir “envie” de chicaner.
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