
La écroulement de Bachar Al-Assad, en décembre 2024, ne inséré pas mais l’décadence d’une des dictatures les avec sanguinaires de l’roman contemporaine. Elle signifie identiquement la fin du préliminaire « narco-Etat » distant de ce nom au Moyen-Orient. Le tyran de Damas avait en suite juste la agencement et le débit de captagon, une amphétamine spécialement addictive, au lieu d’en attente le préliminaire réalisateur complet.
Les butins en milliards de dollars générés par une semblable comptoir de la venin dépassaient de absent le résultat habitant rudimentaire de la Syrie, permettant au assemblée Al-Assad de enserrer les sanctions internationales et d’goudronner de magistraux réseaux. C’est la 4e bissection matelassée, dirigée par le adroit frérot du dominateur, Maher Al-Assad, qui vivait farcie de la bouclier des ateliers de captagon et des convois de trafiquants, assurés de la sorte de emprise terminer en toute licence.
Une fondation plantureusement démantelée
Ahmed Al-Charaa, l’courant « directeur par roulement » de la Syrie, dirigeait rapidement le retranchement d’rivalité d’Idlib, pendant le nord-ouest du concitoyen, à la effigie de la maison locale d’Al-Qaida, devenue, en 2017, Hayat Tahrir Al-Cham (HTC), bien l’« Organisation de élargissement du Levant ». L’gouverne d’Idlib avait institué un besogne de calme extrêmement affairé pendant la punition du débit de stupéfiants, comme une demi-douzaine de saisies d’importantes quantités de captagon convaincu 2022 et 2024.
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