En 2022, “Andor” avait approprié les fans de “Star Wars” par stupéfaction. Sur le chronique, cette choix dérivée d’un individu de l’opus lui même dérivé de “Rogue One” (2016) n’avait nenni d’reliant. Mais, expéditivement qualifiée de “meilleure série ‘Star Wars”” par la critique en raison de la qualité de sa scénarisation et de sa mise en scène, elle a su se faire une place de choix dans le cœur des aficionados de la saga intergalactique.
C’est peu dire que la seconde saison, dont la première salve d’épisodes débarque mercredi 23 avril sur Disney+, est attendu de pied ferme. D’autant plus qu’elle servira de conclusion à la série.
Combattre l’oppression sous l’Empire
Elle continuera les prémices de la rébellion contre l’Empire galactique, sur les quatre années qui séparent dans l’univers la première saison aux évènements dépeints dans le film “Rogue One” (2016), à travers le parcours d’un de ses protagonistes, Cassian “Andor” (Diego Luna).
Loin de l’idéalisme de la Rébellion de la trilogie “Star Wars” de George Lucas, “Andor” explore les motivations et les côtés obscurs des deux camps, suivant aussi bien l’architecte de la rébellion naissante campé par Stellan Skarsgard que les sbires de l’empire fascisant. Avec en toile de fond cette question : est-ce que pour combattre l’oppression, la fin justifie les moyens ?
À deviner de ce faitComment s’y recouvrer pour l’tout “Star Wars”
À la baguette de cette fresque galactique, un vétéran de l’industrie du film. Avant “Rogue One”, Tony Gilroy a travaillé sur les scénarios de “L’Associé du bigre”, “Armageddon” des films de la franchise “Jason Bourne”, ainsi que sur celui de “Star Wars” : Rogue One. Il est aussi le opérateur du dramatique Michael Clayton, vers lesquels il a été cité aux Oscar.
La Dérangement française également modèle
Pour frotter la agnelage de la Sédition et son coup sur des “gens ordinaires” de l’tout “Star Wars”, Tony Gilroy dit garder puisé son émerveillement pour les livres d’légende.
“Cela fait 40 ans que je lis des livres d’histoire et de guerre, sur les rébellions et les révolutions, russe, française, anglaise, haïtienne, roumaine ou encore mexicaine”, explique celui-ci qui revendique son entité self-made-man.
La moindre hors de saison se penche davantage singulièrement sur le propos de la annonce, à défaut le malédiction atroce du saturé d’une terre nommée Ghorman. Comme pour la originelle hors de saison en compagnie de la terre Aldhani, il a poussé la spécification à “imaginer une civilisation entière”, en compagnie de son économise, sa parole, sa prairie, sa armoire et son harmonieux.
Le très prendra en passage son émerveillement pour une choix respect de France 3 : “J’étais un grand fan d”Un Village français'”, a permis Tony Gilroy qui a indispensable singulières acteurs métropolitain vers créer la monastère de Ghorman pour une parole allégorique.
Thierry Godard au casting
Impact de l’activité sur une patrie, endurance, personnages complexes… Les parallèles parmi “Andor” et la choix qui narrait la vie d’une sous-préfecture légendaire du Jura au-dessous l’activité allemande endéans la Seconde Guerre mondiale semblent évidents.
L’acteur Thierry Godard, débauché par Gilroy, fera le changement parmi les quelques tout. L’inoubliable Raymond Schwartz d'”Un Village français” est annoncé au casting pour un travail mieux incognito.
Plus habituellement, la choix résonne fort en compagnie de les désordres du monde présent : “La triste vérité c’est que l’histoire (…) se répète encore et encore”, écho coûter le showrunner. “De manière narcissique, nous avons souvent l’impression de vivre des temps uniques”. Or “la technologie change, le vocabulaire change, mais la dynamique de l’oppression et de la résistance” est “intemporelle”.
Avec un froid de épanouissement évalué à davantage de 645 millions de dollars vers ses quelques saisons, Disney risque pesant sur “Andor”.
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