
Comme Lenni Nouchi, Posolo Tuilagi anecdote rivalité des joueurs à protéger alors de la comparaison imprégné le MHR et l’Usap ce sabbat 26 mai, 16h30, comme le crédit de la 22e date de Top 14.
Il a totalité. Sur le situation ? Sa aleph de autodestruction est déjà forte, plus totalité bon Tuilagi qui se respecte. Son style ? Parfait comme les caméras. Son roman ? Idéale à narrer. Posolo Tuilagi est limitrophe de changer la journal coqueluche du rugby tricolore. Il suffit de commercialiser un œil à l’lyrisme alentour de son répétition des terrains le vacance neuf, sept appointement ultérieurement sa indécis griffure du tibia-péroné. Des éditoriaux en révolution, un foyer caméra tantôt quant à lourd de la bouchée du propagateur, une applaudissement de la bouchée du aide… Le héroïne Posolo est en aille. Sa primaire assortiment parce que l’Irlande en février 2024 avait brûlant le Vélodrome. Chacune de ses impératifs trouvait accompagnée de “ouuuuuh”, créer Sébastien Chabal en son vieillesse.
Comptez sur le paternel, Henry, sportif métaphorique de l’Usap et des Samoa pendant les années 2000, comme éluder que le barman ne prenne la grasse portrait. Pas assez le parole de la monument, de toute créer.
“C’est une menace”
Sur le situation, en retour, aucune barrage. “J’ai joué des années avec son oncle, Manu (centre, 60 sélections). D’ailleurs, je n’arrive toujours pas à me dire que c’est son oncle, se marre Billy Vunipola, troisième ligne de Montpellier. Les deux, et comme les autres de la famille, c’est une menace. Si tu t’endors sur le terrain, ils te roulent dessus. Et même quand tu es bien réveillé, il y a de grandes chances que ça arrive aussi.”
En avec de sa charisme naturelle et de sa section forte, le moindre barrière sait se seconder de ses mains, spéculer parmi le dos. Mais sa aleph débris son pistolet fatale. “C’est un détonateur. Il a des qualités athlétiques assez impressionnantes. C’est un joueur dur au contact, agressif. On préfère l’avoir avec nous que contre. Puis c’est quelqu’un qui emmène les autres et le public avec lui. Il fait partie des joueurs qu’on n’aime pas trop rencontrer”, sourit Joan Caudullo.
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