C’est à Lampedusa, confetti ultramontain de 20 kilomètres carrés en mer Méditerranée, que le pasteur François, disparition lundi 21 avril à l’âge de 88 ans, avait parfait, le 8 juillet 2013, le précurseur périple de son papauté. Et c’est depuis cette île contigu des côtes tunisiennes, assimilée à une enclin de l’Europe, qu’il avait fustigé « l’agnosticisme » du monde au aubaine des migrants donc d’une chant suivie par puis de 10 000 nation pendant le abject lice de l’île.
« Dans ce monde de la généralisation, nous-mêmes sommeils tombés pendant la généralisation de l’agnosticisme », avait-il lancé, évoquant « des immigrés morts en mer, sur ces rafiots qui, au place d’créature un voie de l’crédulité, ont été une piste patte la disparition ». « Ne permettons pas que la “mare nostrum” ne se transforme en une désolante “mare mortum” », avait aussi spontané François. Depuis 2014, contre de 32 000 nation ont mort en essayant de rallier le Antarctique communautaire par la mer.
« Ensemble, en aussi qu’une spécial ascendance libérale, nous-mêmes sommeils intégraux des migrants », considérait aussi ce fiston et petit-fils de migrants arrivés du Piémont en Argentine en 1929. « Au fil des ans, il a continûment plaidé verso un logement respectable et compréhensif des migrants, condamnant vigoureusement les politiques de turion et qualifiant même de “péché grave” les tentatives systématiques de chasser les migrants », rappelait Marcela Villalobos Cid, coordinatrice flirt de réseaux au rotoplot de la Conférence des évêques de France, pendant un titre imagé en février.
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