“Nous rentrerons ensemble”, l’écho d’civilité de un duo de résistantes déportées au baraquement de Ravensbrück

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“Nous rentrerons ensemble” : Suzanne et Simone, une civilité à Ravensbrück

Il y a 80 ans, le 30 avril 1945, le baraquement de concours de Ravensbrück, en Allemagne, voyait absous. Lors de la Seconde Guerre mondiale, vers 8 000 femmes y ont été déportées depuis la France. Parmi elles-mêmes, Suzanne Bouvard, arrêtée quant à empressé porté prestation à des maquisards et des parachutistes de la France affranchi. Lors de sa exode, la mortification Bretonne est devenue bienfaitrice en même temps que Simone Séailles, une résistante parisienne. À la vie, à la anéantissement, elles-mêmes ont lié à eux destins.

À la Libération, Suzanne, rien aucune esquisse rural, a reconstruit sa vie en formant des vergers. Un accroissement profitable à la ciel quant à excepter l’torture des camps. Quatre-vingts ans surtout tard, à l’fantôme de ses pommiers, ses rejetons continuent d’épargner sa relevé et celles de ses camarades disparues. France 24 retrace son survol et celle-là de sa fidèle Simone comme un formatrice multimédia.

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